Nostalgie (Libre)

Le ciel ce déchira doucement, aucune secousse, tout est fais pour éviter d'attirer l'attention. Une personne sortie en marchant lentement, elle regarda tout autour d'elle, le ciel repris sa forme original. La personne continue à avancer, marchant sur cette poussière qui à chaque pas fit s'envoler un lège filé de celle-ci. Arriver aux abords d'un des nombreux district il se stop. Pour masquer son visage il avait comme un petit voile gris, il s'arrêta quelques secondes, prit une grande inspiration, et sentit les différents réatsu.

* Sa fessais longtemps*

Tôsen, Tôsen ait revenu dans son ensien district, pour se rappeler qui il ai et d'ou il vient, il n'a rien dit à personne, contre toute menace il revient, peu importe l'ex-capitaine se contre fiche du danger. Il retourna sentir le terrain la ou il s'entrainait il y a bien longtemps, la ou il rencontré pour la première foi son ami Sajin. Le vent dans son cache visage fessait balancer les coins de celle-ci. Il s'assis sur une pierre puis continu à ressentir l'air sur sa peau.

Le district est toujours aussi salle et délabré, les personnes son toujours aussi pauvres. mais que fais donc la SS ? pour les humains le paradis n'est pas comme cella, ce n'est pas ce qu'ils imaginaient.

je me demande comment va Hisagi ...

il ne le sentait pas dans les parages peut-être est il sur terre... qui sais il n'est plus capitaine, pour la SS il est juste le troisième homme le plus rechercher de la SS.

Son entrée est elle passé inaperçue ?

C'était une bien belle journée qui s'annonçait pour la Soul Society. Une de plus dans une éternité de journées baignées par le soleil, la pluie était extrêmement rare dans le monde des âmes. Dès les premières lueurs de l'aube, le Seireitei avait commencé à s'animer. les shinigamis ayant été de garde de nuit regagnaient leurs quartiers pour y goûter un repos bien mériter, d'autres shinigamis prenaient la relève, les différentes Divisions commençaient à se remplir et à s'agiter, bourdonnant comme autant de ruches... Des équipes partaient en missions, les Sièges entraînaient les hommes sous leurs ordres, les fukutaishos rassemblaient les dossiers de la journée pour les porter à leurs taishos, déjà à leur bureau pour la plupart... Une journée comme les autres, en somme...

L'agitation n'était pas tellement différente, au sein de la Quatrième Division, si ce n'était que les activités de ses shinigamis différaient quelque peu de celles de leurs camarades d'autres divisions. En effet, en lieu et place d'entraînement au combat, les shinigamis de la Quatrième Division s'occupaient des différents patients dans leurs murs, vérifiaient les stocks de médicaments, de bandes et de pansements, nettoyaient chambres et couloirs de la Division jusqu'à les faire briller de propreté, libérés de toute trace bactérienne... La Quatrième Division ne formait pas de combattants, mais elle avait sa propre spécialisation et utilité.

Dans le bureau du taisho de la Division, ce fut Isane qui accueillit le shinigami qui porta les dossiers du jour. En l'absence de Retsu, c'était au Fukutaisho de s'occuper des affaires courantes de la Division. Isane en avait l'habitude. Ce matin là, elle n'avait pas été surprise de ne pas trouver sa taisho à son bureau. Elle savait pertinemment où elle était, comme toutes les semaines au même jour et à la même heure. Au départ, Isane et tous les Sièges de la Division avaient protesté contre l'idée de laisser Retsu se promener seule. Mais elle avait balayé leurs inquiétudes d'un sourire chaleureux comme elle en avait le secret... Parfois, elle autorisait certains de ses subordonnés à l'accompagner, pour la seconder. mais ce matin, elle avait décider de sortir seule, et personne ne pouvait contredire les volonté d'un taisho, parmi ses subordonnés en tout cas. Isane poussa un soupir et se mit au travail, voulant que tout soit réglé pour le retour de Retsu.

Bien loin des préoccupations administratives de sa fukutaisho, Retsu terminait sa visite, saluant la famille d'un de ses plus doux sourires. Comme elle le faisait une fois par semaine, elle avait quitté sa Division pour parcourir les différents district du Rukongai, voyant si certaines âmes nécessitaient son aide. Les habitants du Rukongai se blessaient moins que els shinigamis, du fait qu'ils ne se battaient pas. Mais les blessures existaient, de même que les maladies. Retsu ne pouvait pas tout guérir, ni remédier à toutes les maladies, mais elles faisait tout son possible pour apaiser els souffrances de ses patients. Cela faisait de très nombreuses années qu'elle effectuaient ces visites, et rien, mis à part une guerre sanglante nécessitant sa présence au front ou aux arrières pour soigner les blessés les plus touchés, ne pourraient l'empêcher d'effectuer ces visites.

Ce matin là, elle s'était retrouvée dans le District Est, parcourant les différents quartiers sans se soucier du niveau de richesse de leurs occupants. Une personne aux moyens plus qu'humble n'avaient pas moins de besoins qu'une personne aisée,s bien loin de là. Depuis le temps, presque tout le monde la connaissait, et la plupart des adultes l'accueillaient avec joie et les enfants l'entouraient souvent en souriant, très timidement au départ, probablement impressionnés par son statut de taisho d'une des Division du Seireitei. Certaines âmes se méfiaient tout de même d'elle et même si cela l'affectait, elle pouvait parfaitement comprendre leurs motifs. Les shinigamis n'étaient pas toujours appréciés, quelle que soit l'honorabilité de leurs intentions...

Ébouriffant d'un geste maternel les cheveux d'un tout jeune enfant au passage, Retsu s'éloigna de la maison assez délabrée qu'elle venait de visiter. Elle avait bien travailler, ce matin et était assez satisfaite. Heureusement, il n'y avait pas vraiment eu de cas grave,s mais elle avait pris plaisir à soulager certaines douleurs ou à donner des conseils sanitaires ou médicaux. Elle aimait ces moments, où elles se retrouvaient avec les âmes que les shinigamis devaient protéger. En temps que taisho, elle...
Quelque chose la tira soudain de ses pensées. Une sensation... Une présence qui n'était pas à quelques secondes plus tôt. Un reiatsu, qui s'était manifesté un instant avant de disparaître, probablement camouflé. Un reiatsu qui ne lui était pas inconnu... mais cela avit été rapide, et elle n'était pas complètement certaine... Au lieu de rebrousser chemin afin d'aller prévenir le Seireitei, elle décida d'aller vérifier de ses propres yeux. ce n'était probablement pas prudent, mais elle était taisho et un taisho ne reculait pas face à un danger potentiel. Camouflant à son tour son reiatsu, elle n'en utilisa qu'une très faible portion pour recourir au shunpo. Quelques secondes plus tard, elle apparut aux abords d'un terrain vague où elle n'était encore jamais venu. Au centre de ce terrain se trouvait quelqu'un, lui tournant pour le moment le dos Et malgré la distance et le fait que le visage soit masqué, Retsu n'eut aucun mal à identifier la personne qui se trouvait face à elle. l'espace d'un instant, elle songea à retourner donner l'alerte mais décida finalement de n'en rien faire, pour le moment.
A la place, elle approcha doucement, de la manière la moins menaçante possible, se tenait tout de même prête à faire appel à Minazuki à tout instant.

" Eh bien, en voilà une surprise..."

Sa vois était aussi douce et calme qu'à son habitude, et un très léger sourire étirait ses lèvres. La personne en face d'elle était un ennemi, mais elle n'allait pas lancer les hostilités elle même. ce n'était pas son genre. Elle préférait adopter une autre méthode.

" J'avoue être on ne peut plus surprise de vous trouver en ces lieux, seul qui plus est, Tôsen Kaname-san..."

Elle était plus polie qu'on ne pourrait l’attendre vis à vis d'un traître, mais le fait qu'elle n'ait pas employé le "taisho" exprimait tout de même ce fait.

Le soleil à son zénith, sa lumière éclairait,chauffait tout le Rukongai, la population était très actif à présent, tout le monde fessaient se que tout les jours il doivent faire c'est à dire survivre. Tôsen quant à lui se remémore sa vie ici, quand lui même ne ressentais quasiment rien et qu'il tombait à chaque obstacle.

Puis, la foule s'agitaient un peu de trop a son gout, que pouvait il bien se passer, sa présence ici aurait elle attiré les foudres de Seretei ?, Tôsen essai de ressentir un réatsu hostil... Zaraki ?... Soi Fong ?... Renji Byakuya ?.... non aucun de ces réatsu dans les parages, mais alors pourquoi tant d'agitation ?. Discrètement Tôsen ce cache derrière une pierre, le visage toujours caché. Il n'est pas confiant du tout si il devait combattre ici ce serrai très dur même pour lui, il re-balaya un très grande surface mais rien. Il s'avança dans le district toujours avec prudence, en longent les mures pour éviter de trop se faire voire. Un enfant passe a coté de lui en courant le sourire aux lèvre, comme si à ce moment là rien ne pouvait gâcher sa journée.

Il l'attrapa par le col en lui demandant pour quoi il cour aussi vite, il lui répondu avec l'aire essouffler, que la femme médecin était là pour aider tout le monde qu'elle était leur rayon de soleil dans un paradis si ténébreux. Tôsen sus immédiatement que cette personne était la douce et rendre Unohana Retsu capitaine incontesté de la 4éme division de la SS. Cette femme respire la paix et la douceur. Aucune femme ou homme ne peu égaler sa connaissance en médecine. Elle est si douce que personne n'ose lui manqué de respect, elle est cependant très persuasive, elle a les mots justes. Tôsen sus alors pourquoi il n'a pas détecté de réatsu "méchant" "brutal". Il se repli donc ver le champ d'ou il est arriver pour repartir, mais il ne senti plus le réatsu de cette femme, il a directement fais un sourire en coin très léger sachant qu'il venait de se faire avoir, sa première peur fut qu'elle alerte la SS mais se n'est pas une femme comme cella, de toute façon Tôsen ne lui ferrai jamais de mal.

Tôsen commence a faire le geste pour déchirer le ciel mais avant qu'il est put lever son bras, elle apparu avec un shumpo, puis elle dit qu'elle et très surprise de le voire ici. Sa se comprend...

"Unohana Retsu... votre réatsu est toujours aussi doux que votre personnalité"

Toujours le dos tourné à elle, il baisse la téte puis la reléver sans dire un mot regardant le ciel. Les nuages étaient calme, le vent venait de tourner.

Mon district me manquait. Un retour aux sources après un moment ou les questions se sont succédés.

Le visage de cette femme n'a toujours pas changer... radieux... pur.

Donnerait vous l'alerte ....?

Après s’être avancée de quelques pas, Retsu s’immobilisa à une distance respectable. Ce qui entendait sûre, lui permettant d’avoir le temps de réagir si jamais son vis-à-vis décidait de l’attaquer. Retsu avait de très bon réflexes, mais elles n’était pas un shinigami de combat, sans oublier qu’elle ne ferrait pas l’erreur de sous estimer son adversaire. Elle préférait donc rester sur ses gardes et à distance. Rien dans son maintiens n’exprimait cependant cette prudence. Aucun pli soucieux sur son visage, aucune vague agitation de son reiatsu qu’elle avait cesser de complètement masquer. Elle était en cet instant la même parfaite incarnation du calme et de la douceur qu’elle était en temps normal.

Tosen ne semblait pas vraiment surpris de la voir, apparemment. Il l’avait sûrement senti lorsqu’elle était encore dans les rues, à prodiguer ses soins aux blessés et malades. Il était cependant étonnant qu’il soit encore là. Peut être s’était-il dit qu’il ne risquait rien, malgré la présence proche d’un capitaine. Ou peut être plus précisément sa présence proche. La réponse n’était pas certaine. Finalement, au lieu de s’enfuir ou d’attaquer, Tosen lui répondit, sans pour autant la regarder. Le léger sourire de Retsu s’étira légèrement en entendant les mots qui franchirent le lèvres du traître.

« Je vous remercie du compliment. Dans ce cas, je dirais que le votre est également resté le même, toujours aussi calme et détaché, dépourvu d’agressivité… A l’image de votre personnalité, en somme… »

Ce qui était vrai. Des trois traîtres, Tôsen Kaname était le moins « agressif » . Aizen et Gin dissimulaient sous leurs masques souriants un océan de noirceur, chacun à leur manière. Ce n’était pas le cas de Tôsen, du moins, c’était ce qui ressortait comme impression. Ce qui ne voulait bien sûr nullement dire qu’il n’était pas dangereux. Elle écouta sans mot dire l’explication qu’il lui fournit à sa présence. Elle ressentit une très légère pointe d’amusement. IL était un ennemi, et pourtant, il répondait obligeamment à ses questions. Elle s’abstint de faire tout commentaire, jusqu’à la question qu’il lui posa. Elle se décida à lui répondre le plus franchement possible, gardant son attitude paisible et dénuée d’agressivité.

« C’est probablement ce que je devrais faire. Après tout, vous êtes un ennemi de la Soul Society ainsi que di monde des humains. Néanmoins, je me doute que vous disparaîtrais avant même que mon message ne parvienne au Seireitei, n’est-ce pas? »

Elle n’était pas stupide. Quelle que soit la raison pour laquelle Tôsen ne s’était pas enfui en sentant sa présence, il était certain qu’il ne perdait pas une seconde et franchirait un garganta le reconduisant au Huaco Mundo dès lors que d’autres shinigamis, probablement du rang de lieutenant ou de capitaine, convergeraient vers ce lieu avec le but avoué de le capturer. Et une fois le passage refermé, ils n’auraient aucun moyen de le rattraper.

« Vous deviez être vraiment attaché à ce lieu, pour y revenir dans ces conditions. En temps que traître à la Soul Society, vous courrez un très gros risque en revenant ici, seul, après tout ce qu’il s’est passé… Un risque que je vous pensais trop prudent et avisé pour prendre… »

A ses yeux en effet, cela relevait de la folie pur,e voir du suicide. Certes, son passage aurait peut être pu passer inaperçu si Retsu ne s’était pas trouvée dans ce secteur à ce moment là. Mais rien n’était sûr. Après tout, le bureau de recherche et de développement de la Douzième division avait peut être repéré la variation énergétique provoquée par l’ouverture du passage. Peut être que l’alerte avait été donnée et que des shinigamis étaient en route en cet instant même, camouflant le plus possible leur reiatsu pour ne pas se faire repérer. Tout était possible, elle n’avait aucune certitude. Avec tout ce qu’il se passait ces derniers temps, la Douzième Division était assez occupée, travaillant sans relâche sur plusieurs projets et fronts différents. La notification de la création d’un portail ennemi dans le quartier Est du Rukongai avait très bien pu se perdre dans l’océan de donnée traitées.

Dans l’incertitude, Retsu allait essayer de le retenir le plus longtemps possible, laissant ainsi la possibilité à d’éventuels renforts d’arriver. Et puisque Tôsen ne donnait aucun signe d’agressivité, elle allait en profiter pour le faire parler le plus longtemps possible.

Tôsen senti toujours un réatsu paisible et calme mais l'attention est de rigueur, Tôsen a côtoyer la capitaine Retsu pendant quelque années avant de partir pour la Justice... enfin, il sait qu'elle a un certain talent pour bavarder, et soutirer des informations, car elle a quand même une facette bizarre, elle ne retranscrit pas ses émotions, donc très difficile de savoir a quoi elle pense ou quel son ses intention, attaque ? non c'est pas vraiment son style. Tôsen ne ressent toujours rien, alors pourquoi ? pourquoi n'est elle pas aller prévenir la Soul Society ? es que ce n'est pas déjà fais ? dans ce cas il serrait dans de salle draps. Le soleil brille toujours autant Tôsen enleva cache visage, puis Retsu fit un commentaire sur son sourire qui lui n'a aussi toujours pas changer, il est dépourvu d'agressivité, normal en quelque sorte, Tôsen n'est pas agrégative, non si il tue ou coups des membres ce n'est pas pour le plaisir comme ce chacal de Grimmjow, non Tôsen le fais tout simplement pour la Justice. La capitaine maintenais une certaine distance, le risque zéro n'existe pas, tout le monde le sais.

" Je ne veux pas vous combattre, mais ne me forcer pas a le faire si non je serrai obliger de vous immobiliser, ou pire"

Ce que Tôsen veux dire par ces quelque mots c'est qu'il n'est pas ici pour exécrer son métier de juge ou de bourreau. Il et juste la pour ce remémorer son enfance pas toujours facile, un peu de tendresse dans ce monde de fou, ça ne fais jamais de mal de se remémorer de la ou l'on vient. Si la capitaine devait partir alerter les autres il la rattraperait et la ferrai taire, certainement pas en la tuant mais il l'immobilisant par un moyen quelconque. Mais il dit sa toujours avec la même impartialité, pas une lettre plus haute que l'autre, notre aveugle sait être polit avec les femmes surtout une connaissance de longue date, enfin bref recentrons nous sur les faits. Tôsen toujours son Zampakuto la main près à bondir sur le premier venu qui l'attaquerai, mais toujours rien, sa présence est elle passer vraiment inaperçue ? une chance que çe soit elle qui soi venu, tout est plus tranquille.

"ce lieu... est un souvenir sans images, mais débuts, mas première rencontre..."
"Je ne suis pas inconscient les risques pris son mesurer"

Après avoir divulguer un bout de sa vie, tout le monde est content, Tôsen dit avoir mesurer le danger et la probabilité qu'il y est un ennemie dans les parages, pas de bol Retsu était la, mais bon faut lieu que ce soit elle que Zaraki... enfin bon les deux personnages on quelque chose en comun, le "Poker Face" c'est à dire le visage ne laissant paraitre quasiment aucun sentiment, Retsu était la reine, enfin bon Tôsen a quelque centaines d'années d'expérience il voit bien ou la capitaine veut en venir, gagner du temps pour d'une part soustraire des informations et d'autre par gagner du temps pour attendre d'éventuelle renfort, mais rien ne le tracasse à ce moment la, Tôsen décide enfin de ce retourner en entier et de montrer son nouvelle uniforme, qui je trouve lui vas mieux.

"Retsu, comment vas Hisagi ?"

Cette question fais l'objet d'une grande réflexion, pourquoi cette question ? s'intéresse t'il vraiment à la réponse ? si il ne vas pas que vat il faire ? enfin bon ou à lors... un élent d'inquiétude pour la personne qui surveiller ses arrière pendant son sommeille et dans les combats. mais que vas elle penser de cette question ?, Tôsen lui ne prend pas cette question comme une faiblése il n'abandonnerai pour rien au monde sa place de commandant des troupe d'Azain. Vas til y avoir des renfort ? tout ce que l'on peu dire c'est que Tôsen ne vas pas rester là encore bien longtemps.

Edit Starrk ~> Faite attention a votre Orthographe, vos RP sont bourrer de fautes. Passer par des correcteur d'Ortho ou autre. Essayer de faire un effort.

Retsu ne broncha pas en entendant Tôsen énoncer clairement qu’il était prêt à l’affronter au moindre mouvement suspect. Ou du moins, c’était ce que laissait entendre ses mots. Retsu n’en était pas surprise, après tout, ils étaient ennemis, à présent, et elle-même était prête à faire de même, et ce même si elle préférait éviter d’en arriver là, n’étant pas une grande adepte de la violence. Aussi se contenta-t-elle d’incliner légèrement la tête sur le côté, plissant très légèrement les yeux, son léger sourire toujours en place.

« Allons, vous devriez savoir, depuis le temps, que je ne suis pas une combattante, aussi je ne serais pas celle qui déclenchera les hostilités. Néanmoins, je suis tout à fait prête à me défendre si vous envisagez de m’attaquer… »

Elle avait parlé calmement, énonçant simplement un fait sans paraître le moins du monde touchée. Retsu avait de longs siècles d’expérience derrière elle. Elle « fréquentait » au quotidien Zaraki et sa Division, plus tous les autres bagarreurs que comptaient le Seireitei et qui venaient souvent faire des séjour plus ou moins prolongés dans sa Division. Tout ça pour dire qu’il fallait bien plus qu’un avertissement très légèrement teinté de menace pour la déstabiliser ou entamer son calme et sa douceur légendaires. Pour cela, Tôsen et elle jouaient un peu dans la même catégorie. Aucun des deux n’était du genre à élever la voix sans bonne raison. Quoi que… Tôsen avait peut être plus de chances de s’emporter qu’elle, d’après ce qu’elle avait entendu dire sur le combat qui l’avait opposé à Zaraki. En un sens, il n’était pas difficile de se laisser emporter quand on se trouvait face au taisho de la Onzième Division. A moins d’avoir de très longues années de stricte et rigoureuse éducation, comme les Kuchiki, ou une patience à toute épreuve comme la sienne.

Tôsen continua à lui répondre et Retsu l’écouta sans l’interrompre. Puisqu’il était prêt à parler, elle n’allait pas l’en empêcher. Tout était bon pour gagner du temps, et puis, elle pouvait l’avouer, la taisho de la Quatrième Division avait envie de comprendre. Comprendre comment un homme qui semblait si droit avait pu ainsi s’écarter du droit chemin pour emprunter la route du mal… Elle n’avait jamais pu en saisir les raisons, et puisqu’elle avait l’occasion de peut être percer un peu le mystère et commencer à comprendre certaines choses, elle n’allait pas s’en priver.

Elle ne bougea pas quand il se tourna finalement vers elle, son nouvel uniforme blanc flottant autour de lui. On ne pouvait reprocher à Aizen avoir un certain humour. Arborer un vêtement blanc… certes, cela en faisait l’exact opposé de la tenue des shinigami. Sans compter que le blanc était souvent considéré comme la couleur de la mort dans certaines cultures asiatiques. Mais dans d’autres, occidentales, notamment le blanc incarnait la pureté et c’était bien une chose qui n’allait pas du tout de paire avec les traîtres à la Soul Society, ne parlons même pas des Arrancars !

La question suivante de Tôsen surprit légèrement Retsu, même si elle ne le montra pas. Quelque chose cependant la dérangea, et cela s’exprima dans l’assombrissement léger de son visage. Cela ne dura pas longtemps, juste quelques secondes, mais elle avait ainsi laissé sa contrariété se montrer.

« Eh bien, vous faites preuve d’une familiarité bien surprenante, Tôsen-san. Pourtant je ne me rappelle pas que nous ayons été aussi proches, durant les années où vous avez endossé le manteau de taisho, arraché par trahison à Muguruma-taisho… »

Son ton s’était très légèrement durci aussi, même si aucune onde agressive n’émanait d’elle. Cela faisait de nombreux siècles que personne ne l’avait appelée par son prénom, et elle n’appréciait pas forcément de l’entendre franchir les lèvres d’un homme coupable de tels méfaits. Entendre Tôsen utilise son prénom était vraiment surprenant et mal venu. Même Aizen ne se l’était pas permis.

Sa contrariété clairement exposée, elle retrouva ainsi très rapidement son visage doux, même si son sourire était désormais moins apparent. Elle fit ensuite quelques pas sur le côté, le tout sans s’approcher de Tôsen ou le quitter des yeux, simplement pour bouger un peu, n’ayant pas l’intention de rester immobile comme une statue. Après tout, ils ne se trouvaient pas à une réunion des taisho à la Première Division.

« Mais je suis surprise que le sort d’Hisagi-fukutaisho vous intéresse… Après tout, vous n’avez pas hésiter à le trahir, de même que votre ami de longue date, Komamura-taisho… Même si je dois avouer que vous avez moins jouer avec lui qu’ont pu le faire Aizen Sosuke ou Ichimaru Gin… »

Il n’y avait aucune comparaison possible, en effet. Kira et Hinamori étaient sortis bien plus marqués et anéantis que Hisagi. Probablement parce que Tôsen n’avait pas jouer avec lui, avec sa personnalité et ses sentiments, comme l’avaient fait les deus autre traîtres.

« Mais bon, si ce sujet vous intéresse, je dirais simplement qu’Hisagi-fukutaisho va aussi bien que possible et qu’il accomplit son devoir au mieux, assumant seul toutes les responsabilités concernant la direction de la Neuvième Division… »

Elle s’immobilisa après avoir parcourut moins de deux mètres et reporta son regard sur Tôsen, même si son attention n’avait jamais dévié. Son sourire s’étira à nouveau et ses yeux se plissèrent.

« Mais vous attendiez peut être d’autres nouvelles que celles-ci ? »

Les deux personnages continuaient leur discutions on ne peu plus pacifique, à croire que la capitaine a fais un stage dans le domaine de l'interrogatoire, elle n'arrêta pas de poser des questions, elle lui répondit qu'elle aussi était prête à lui faire fasse si besoin était, enfin la capitaine ne c'est jamais distinguer au combat de n'importe quelle façon que se soit. Enfin si elle ait capitaine c'est bien qu'elle a quand même des ressources diverses et variées. Cependant une pointe de frustration ou de mécontentement c'est lui sur son visage quand l'ex capitaine Tôsen fut brièvement familier avec elle, en un car de seconde son visage a laisser paraitre une émotion. Tôsen parlait mais ne divulguer rien au sujet du Huco Mondo est de ses futures plan, c'est pour cella que le sujet de son enfance et de son ex lieutenant son de bon sujets pour ne pas aborder les autres, mais aussi sa fais stagner la discutions sur la Soul Society et pas sur un autre point, même si la question sur son ex lieutenant avait plus d'importance que les autres questions. Puis elle aborda un sujet très pentu avec Kaname, celui de sa prise de fonction comme capitaine à la place du Murgumura. Elle le caractérise comme traitre, entre nous soit dit c'est sur que ce n'est pas une façon bien correcte mais pour Kaname si la justice devait passé par cette trahison alors il se devait de la faire.

Le regarde de Unohana Retsu fut sans appel lorsque que Tôsen dévoila son nouvelle uniforme, on peu cacher tout se que l'on veux mais un regard ne trompe jamais, mais comment peu il le voir alors qu'il est aveugle ? dison qu'il ressent extrêmement bien les réatsu et arriverait même à recréé le corps d'une personne juste en ressentant le réatsu. Enfin bon rien de sur. Elle fût très surprise lorsque il posa la question sur Hisagi, après tout il la trahi lui aussi. Mais apparemment il se débrouille très bien, qui sait un jour il se rencontrerons peut-être.

"Je n'est pas voler mon titre de capitaine, la loi stipule que si une personne arrive a battre un capitaine alors il obtient son post."

"Si Hisagi vas bien... je savait qu'il ferrai bien le travail à ma place"

Tôsen re-scanna les environs pour une énième foi, mais toujours rien. Pour lui se fût le temps sa partir rester ici plus de temps serrai du suicide. Une question venait à présent, devait il maitre inconsciente la capitaine grâce son premier shikai ? qui lui serait totalement indolore, ou alors la laisser voire et ne rien faire. Il mis la main sur son zanpakuto... un léger vent se leva... les cheveux des deux personnages balançaient au vent. Tôsen lâche son zanpakuto, lui fit dos, leva son bras gauche, puis il tourna la tête ver elle sans rien dire, un le ciel se déchira, comme un vulgaire bout de papier, il emprunta le passage qui se referma doucement, Kaname ne se retourna pas. Pour Tôsen cette rencontre fût bonne, il sait à présent que les lieux son vident de toute présence militaire.

Le visage de Retsu resta neutre et doux, malgré le fait qu’elle n’approuvait pas les propos de Tôsen. Certes, les lois du Seireitei disaient que l’une des manières d’obtenir le rang de taisho était de vaincre ce dernier. Mais il y avait une faille de taille, dans la logique du traître. En effet, non seulement fallait-il vaincre un taisho pour prendre sa place, mais il fallait le faire aussi devant les yeux de 200 shinigamis. Le tout supposait donc un combat plus ou moins à la loyale. Et d’après ce que Retsu savait, Tôsen n’avait pas vaincu Muguruma Kensei en combat loyal, et certainement pas devant 200 témoins. On pouvait reprocher beaucoup de chose à Zaraki, mais au moins ce dernier avait-il respecté tous les aspects de ce point de la loi. Le taisho actuel de la Onzième Division était une brute, un assoiffé de sang et de combats, mais lui avait fait ça dans les règles, sans avoir recours à la trahison. Ce qui faisait un bon point pour lui, malgré tout…

Mais là n’était pas vraiment la question. Mieux valait revenir au dernier sujet de la conversation, à savoir le fukutaisho de la Neuvième Division. Retsu essayait de comprendre ce que Tôsen cherchait à savoir, en se renseignant sur lui. Avait-il été un minimum attaché à Hisagi et s’inquiétait-il réellement de sa situation actuelle? Ou bien devait-elle voir autre chose derrière cette question? Peut être Tôsen voulait-il simplement savoir si la Neuvième Division pouvait présenter des faille,s pour en profiter par la suite… Tout était possible…

« Hisagi-fukutaisho a toujours été un excellent élément, même avant sa nomination à ce poste… Il ne fait que continuer à prouver ses compétences.»

Retsu sentit alors que Tôsen commençait à se désintéresser de la conversation. Elle le vit porter la main à son zanpakuto, et sa main suivit le même chemin, se posant sur la poignée de Minazuki. Son sourire se dissipa légèrement et son reiatsu vibra légèrement dès l’instant où ses doigts effleurèrent l’autre partie de son âme. Elle ne dégaina pas son sabre mais guetta le moindre mouvement de Tôsen. Elle connaissait le pouvoirs de son zanpakuto. Elle savait que son bankai était particulièrement dangereux. Si le traître voulait y recourir pour la maîtriser, alors elle devrait agir rapidement, de manière à lui couper l’herbe sous le pied. Elle n’était pas un shinigami de combat, mais cela ne signifiait en aucun cas qu’elle était sans défense.

Mais Tôsen relâcha finalement la poignée de son zanpakuto, sans avoir attaqué, lui tournant le dos à nouveau. Retsu devina ce qu’il allait faire. Elle aurait peut être pu le retenir, utiliser un bakudo pour le retarder, mais cela n’aurait servi à rien. Déjà, sur un geste de la main de Tôsen, le ciel se déchirait, libérant un passage pour le Hueco Mundo. Retsu regarda Tôsen y disparaître, sans se retourne,r avant que le passage ne se referme complètement. Seulement alors elle relâcha sa prise sur Minazuki. Un soupir lui échappa. Ils avaient évité l’affrontement, mais Retsu n’avait pas pu récolter les informations qu’elle désirait. Ses questions étaient restées sans réponse. Elle aurait sûrement dû engager un combat, pour essayer d’attirer l’attention du Seireitei, mais cela aurait sûrement pu être contreproductif. Les dégâts auraient pu être considérables, et les premières maisons à proximités étaient bien trop proches. Un combat aurait pu blesser des âmes innocentes.

Observant une dernière fois le terrain à présent désert, Retsu se détourna finalement et, utilisant le shunpo, prit la route qui la ramènerait au Seireitei. Elle devait faire un rapport sur ce qu’il venait de se passer. Elle devait aussi aller converser avec Kurotsuchi Mayuri, pour lui signaler aimablement que ses appareils de détection d’intrusion avaient bien besoin d’être vérifiés, s’ils étaient passé à côté de l’ouverture d’un garganta en provenance du Hueco Mundo. Les shinigamis avaient pour devoir sacré de protéger les âmes, tant à la Soul Society que dans le monde des humains. Comment pourraient s’acquitter de ce devoir s’ils n’étaient même pas capable de capter une présence ennemie dans un quartier du Rukongai ? En un sens, ils avaient eu de la chance que cela soit Tôsen, et qu’il n’ait eu aucune intention violente. Certes, s’il s’était agi d’un hollow quel que soit son grade, Retsu aurait pu intervenir. Mais si un arrankar voir un espada avait traversé le portail, et si elle n’avait pas été là… Oui, il y avait décidément des choses à revoir…