Cache-cache avec un Hell Gang (Flashback)

Le néant qui sépare l’Hueco Mundo du monde des humains n’a jamais été ma tasse de thé. Les torrents d’énergie s’entremêlent, vifs et chaotiques dans ce passage étroit que je maintiens depuis que j’ai quitté le désert nocturne de l’autre monde. Cela fait des heures, me semble-t-il, que j’avance dans ce tunnel aussi sombre que les couloirs de Las Noches, à chercher l’endroit exact. Peut-être par là? Je tends la main vers une forme vague, une ondulation sur un courant de particules spirituelles qui coure sur la surface de ce tunnel. Alors que je passe ma main, le rideau dense et opaque semble frémir, et une étrange sensation remonte le long de mes mains, puis de mes bras. Comme un frisson. Un frisson de dégoût certainement, à l’approche de Karakura et de ces humains naïfs et faibles. Ma main ce recroqueville, comme pour saisir ce voile et le déchirer d’un coup sec. Une lueur claire m’éblouit à l’instant où s’ouvre le garganta.

De l’autre côté, le soleil brille. Ses rayons percent l’entaille noire que je viens de former au milieu du ciel. Puis, peu à peu, cet oeil noir s’ouvre sur le bleu azur qui surplombe la ville. Le passage s’écarte, d’autres déchirures se propagent les unes au bout des autres, et la forme étrange et segmentée du garganta se perçoit maintenant parfaitement. La porte s’est ouverte, suffisamment haute pour que ma silouette blanche se distingue au milieu de ce néant noir. Je pénètre dans ce monde, d’un pas sûr qui cache une hésitation prudente, en balayant la ville d’un regard franc, mais néanmoins attentif.

Avec la brise, mon hakama blanc flotte autour de mes jambes, et les extrémités de mon bandeau s’enveloppent autour du fourreau de mon zanpakuto, qui barre mon dos. Je les dégage d’un hochement de tête avec une grimace de gêne, puis je me laisse descendre doucement sur la terre ferme. Ainsi, je disparais bientôt sous la hauteur des toits, et le garganta se referme avec un bruit torturé. Lorsque mes sandales blanches touchent le sol, quelque chose attire mon attention.

Un groupe d’humains est tout proche. Ils parlent entre eux devant moi, en marchant, et s’éloigne sans me voir. Des écoliers reconnaissables à cet uniforme. Non, ils ne m’ont pas vu. Je suis dans une rue calme, bordée d’un parc paisible d’où l’on entend des cris d’enfants, au loin. Il y a un bâtiment culturel, peut-être un musée ou une bibliothèque, mais la plupart des autres constructions sont des maisons d’habitation. Que faire ? J’ai juste pris la fuite de l’Hueco Mundo, sans me soucier d’autre chose. Les humains ne me voient pas, il suffit d’attendre que le temps passe et rentrer par un autre endroit, plus tard. D’ici là, je vais tâcher de me trouver un endroit à l’écart. J’ai un mauvais pressentiment, comme si l’on m’observait…

La Soul Society venait d'être secoué par la grande trahison du Capitaine de la 5eme division, Aizen Sosuke. Ce dernier, accompagné du Capitaine de la 3eme division, Ichimaru Gin, et du capitaine de la 9eme division, Kaname Tosen, avait rejoint le Hueco Mundo, domaine des Hollows. Dirigeant un Seïreïteï meurtris, le Capitaine Commandant des treize armées de la cour commençait un recrutement de masse auprès des Shinigamis. Le Seigneur du Hueco Mundo, lui, formé ses rangs, donnant vie, grâce à son trophée, à des Arrancars pouvant lutter contre les Dieux de la Mort. Les deux camps se préparaient à un grand conflit, sans doute décisif. Seulement, dans les ruelles de Karakura, des humains aux pouvoirs remarquables se rassemblaient autour d'un même Shinigami, au dessein peu héroïque. Le fameux Hell Gang, qui allait bouleverser à nouveau le monde... spirituelle, comme charnel.
Désormais, les trois clans étaient formés, mais un seul restait tapis dans les ombres les plus profondes. Le Hell Gang n'avait encore pas relevé la tête au grand jour, préférant attendre le moment propice pour frapper. Les forces du Hueco Mundo et de la Soul Society restant plus solide, plus puissante que celle du groupe d'humain, une attaque de front resteraient suicidaire. Pour l'instant, même si les membres étaient souvent investit de mission et de requête, il devait agir seul, et ne jamais divulguer l'existence du clan.
Le doux Requiem, sonnerie de portable du Chronomancien, l'avait tiré de ses pensées, de sa vanité. Fermant un livre sombre, inconnus des humains, abordant le thème de l'immortalité, Sammael avait répondu à l'appel, sachant pertinemment qu'il s'agissait de ses supérieurs, un des lieutenants du Hell Gang. Il ne demanda pas de détail sur sa mission. Il savait parfaitement quelle était sa tâche. Aujourd'hui, plusieurs reïatsu allaient se rassembler dans la ville la plus spirituelle du monde humain, la vicieuse Karakura. Le Cerbère, l'arme ô combien surprenante de Chronos grondait... à travers elle, et, comme avant chaque quête, s'était en réalité la volonté de Méphisto qui se manifestait. Le téléphone fut reposé sur la table. La cape aux reflets sanguins se logea sur les épaules de Sammael, la porte s'ouvrit, laissant pénétré une lumière dorée dans la salle occultée. D'abord aveuglé, le Chronomancien s'habitua à la lumière, et se dirigea vers le parc, lieu de jeux des enfants, où les rires et les pleures se mêlait... c'était à cet endroit que les quatre âmes allaient se retrouver... ou plutôt, se trouver.
Il connaissait déjà les trois êtres qu'il allait rencontrer, la Destinée lui avait déjà murmuré et montré les deux Arrancars, dont un espada, et le Shinigami de la Seconde division... cependant, cela s'arrêter là, il connaissait le lieu, les protagonistes, mais pas les événements, du moins pas encore, que la Chronomancie lui annonce ou non, il le découvrirait bien assez tôt. Un léger courant d'énergie spirituelle circulant sous ses pieds, et, il effectua un flash steps, ne cherchant aucunement à se cacher des humains. Lui, était visible, contrairement aux autres entités spirituelles, et chacun de ses mouvements hors du commun des mortels, les effrayaient. Se retrouvant sur un toit de tuiles moisies par l'acidité des pluies, Sammael se repéras mentalement dans la ville, cherchant à trouver le chemin le plus court vers le parc à jeux. Il ouvrit les yeux, et effectua un deuxième flash steps, se retrouvant sur le toit voisin. Et ainsi de toit en toit, il s'approchait un peu plus du but... certaines tuiles cassait non pas sous le poids de son corps, mais sous la force de son énergie. Les plus petits des humains montraient le Chronomancien du doigt, les yeux pétillants d'envie de pouvoir faire pareil. D'autres, généralement les plus grands, ne voyait qu'un idiot jouant, désirant se montrer et bien se faire voir... leurs manques de connaissance les empêchaient de voir plus loin.
Son pied se posa à nouveau sur des tuiles, il sauta, pour retomber légèrement sur le sol, épargnant les passants. Bien que la détection de reïatsu n'était pas son domaine de prédilection, il pouvait se fié tout de même sur ses quelques compétences en la matière. Pour l'instant, une seule personne était présente... un des Arrancars, le Shinigami ? Qu'importe, il n'avait aucunement l'intention de se montrer... il devait observer, analyser, et, après, si le besoin s'en ressentait, intervenir. Moins il y avait de témoins sur les exploits de certains humains, moins l'anonymat du Hell Gang était menacé. Le bruit des balançoires et des tourniquets commençait à venir le troubler. La verdure et les reflets de banc de sable se distinguer. Si un conflit devait exploser entre les quatre personnes, il fallait espérer que le reste du parc serait plus tranquille.
« Ainsi, te voilà... Arrancar. »


Murmurant cela au travers d'une légère brise de vent, personne n'avait pus entendre les dires du Chronomancien. Au beau milieu du parc, invisible aux yeux des mortels, dépourvus d'énergie spirituelle, se dressait un homme, avec un reste de crâne sur la tête, sûrement le résidus de masque qui caractérise les Arrancars. Habillé de blanc, un katana à porter de main, le premier sbire d'Aizen venait belle et bien de poser pied sur Karakura. Restant tous de même à l'écart du parc, observant juste de loin ce qui allait se dérouler, son regard fut déporté vers cette immense gueule noire, qui déchirait le ciel... le Garganta, le chemin qu'emprunter les Arrancars pour passer de leur Désert de Sable au Monde Humain. Elle se refermait petit à petit... Dans peu de temps, un autre devrait s'ouvrir... normalement.
« Un Arrancar reste un Ennemi, Sammael! »
« Méphisto, ta gueule. »
Préférant de loin l'action pure à la calme surveillance, le côté le plus sombre de Sammael n'attendait que le combat, le moment où, au travers des émotions et du corps de Chronos, il pourrait se délecter de la guerre, de la bataille. Cependant, le conflit ne serra pas ouvert par le membre du Hell Gang... pour l'instant, il surveillerait, et, si besoin est, il traquerait. Il devait surveiller. Son reïatsu, pourtant, trahissait sa discrétion physique, il émanait du corps de l'homme rouge comme un parfum... mais il n'était pas le seul à se faire remarquer, non loin, une troisième énergie spirituelle approchait... le Shinigami aux cheveux blanc et aux yeux violets.

A ce moment précis, ce n'est pas tellement cet étrange sentiment d'être suivi qui me dérange le plus. Non. Il y a aussi ces drôles de cris en provenance du parc. Des humains, entre surprise et incompréhension, avaient dû voir la surface des choses surnaturelles. Phénomènes bizarres, courant d'air, impacts puissants et soudains, sans raison. Ou peut-être des formes de toutes façons, ce ne sont pas les petits malheurs des humains qui peuvent m'empêcher de dormir. Quant aux échauffourées qui devaient se dérouler non loin de là, ce pouvait être un hollow, un "plus", quoi d'autre?

Eh bien, un Espada, pardi. Voilà ce qui me figea net dans la rue. Cette lueur, ce bruit sourd et profond. C'était celui d'un Cero.

La déflagration fut si rapide que je ne saurait dire à quel distance ce combat s'est déclenché. A bien y réfléchir, les cris d'humains sont proches, alors il suffit d'un peu de bon sens pour conclure. Cet espada est proche. Et il a fait vite, pour traverser le garganta, pour retrouver ma trace aussi. Un petit sourire faussement rassurant vient de rompre l'inquiétude de mon visage. Il a eu vite fait de se faire repérer aussi.

Profitant de ce qu'il -ou elle- était occupé(e) à se battre, je pressais le pas à l'écart du parc tout en restant attentif à ce qui se passait derrière moi. Qui pouvait bien être l'adversaire? J'ai laissé dans l'Hueco Mundo deux amis, aux prises avec des espadas. Se pourrait-il que le combat se soit déplacer? Non, impossible. Il s'est passé combien de temps depuis que j'ai quitté ce désert nocturne? Diable, je ne sais plus... Ma mémoire me joue des tours? Tout en m'enfuyant toujours plus loin, je réfléchis, mais rien n'y fais, mon esprit commence à partir en lambeaux depuis quelques temps... Depuis... depuis... mince c'est de pire en pire. Si ça continue d'ici quelques années je ne saurais plus qui je suis, ni d'où je viens. Mais pour l'heure, je dois surtout m'efforcer de sauver ma carcasse d'arrancar.

Sonido... Et me voilà à quelques blocs de là.

Un zanpakutoh sous la gorge, un shinigami retenant ses mouvements, et qui pouvait, sans aucun doute, lui tranchait la gorge, ainsi mettre fin à ses jours... Il n'avait aucunement vus arriver son ennemi, trop concentré sur l'arrancar qui venait de poser le pied à terre, et sur la quête de surveillance que l'on lui avait confié. Il se retrouvait maintenant en danger de mort, pouvant se faire décapité à tout instant par cette âme guerrière... La Mort, il l'attendait depuis longtemps désormais, il la désirait même. Elle restait là, auprès de lui, le frôlant, mais, depuis plus de soixante-dix ans, refusé d'abattre sa gigantesque faux pour récolter l'âme du Chronomancien... au vus de son âge, il aurait dû reposer en paix, remit à la terre au côté des restes funèbres de celle qu'il avait tant aimé, et qu'il aimait toujours... oui, la Mort faisait partie intégrante de sa vie, de ses pensées, de son âme. Alors, se retrouvait dans une situation mortel tel que celle là ne lui faisait ni chaud, ni froid. Il voulait le tuer, au moindre de ses mouvements? Et pourquoi? Parce qu'il surveille un ennemi des Shinigamis, mais voyons, il n'était qu'un humain à la peau lisse comme n'importe quelle autre... En plus de se retrouvait plaquer contre un mur par un homme noir et blanc, il devait répondre clairement aux questions qu'on lui posait...un bruit, un mouvement et il était mort non? Ce n'était pas ce que le shinigami venait de lui dire? Alors, pourquoi parlerait-il... cette contradiction de la part du dieu de la mort prouvait peut-être sa curiosité, ou son incompréhension? Son regard de sang se posa dans les yeux violacés de son interlocuteur. Il arbora un léger sourire de moquerie, paraissant presque hautain...
« Un mouvement... un bruit, et je suis mort? Alors, pourquoi parlerais-je? »


La Chronomancie lui remettra les idées en place, Sammael était véritablement pressé de voir le visage de son assaillant lorsque, sans que le shinigami puisse comprendre comment, il se retrouverait derrière lui, le Cerbère braquait sur son crâne. Cette journée allait être pour le moins distrayante. Il fixa de nouveau son regard qui croisa celui du shinigami, son sourire provocateur pris de l'ampleur. Son oeil gauche se mit à scintiller, éclairant les quelques ombres présentent dans la ruelle... les secondes se firent plus longue, les cris et les paroles se propageaient plus lentement, le temps commençait à se stopper.
« Ne me fais pas rire, shinigami »


Sammael prépara un flash step, un infime courant d'énergie circulas sous la plante de ses pieds, et était prêt à être relâché pour permettre à Chronos de s'échapper des griffes du shinigami. Le processus chronomancien visant à stopper le temps arrivait à son terme, et, avait en réalité, durait moins de cinq secondes... cinq secondes qui ont été comme cinq minutes pour les sensibles. C'était là un avantage qu'offrait la Chronomancie, en plus de modeler le temps, celui qui la pratiquait restait insensible à ses sortilèges. Un doigt se posa sur sa tempe, le sortant de sa concentration, annulant le procédé organisé par le Chronomancien... le temps se remit à s'écoulait normalement. La quatrième entité était présente, l'Espada venait de le trouvait, en mettant également la main sur le shinigami. Le Dieu de la Mort et son reïatsu ne l'avait aucunement gêné... mais, en ce qui concernait cette âme, c'était différent. Son énergie spirituelle était plus élevé, et démontrait parfaitement la différence de force entre lui, et eux. Sammael en restait sidéré. Quel était donc son grade?
L'arrancar se mit à parler de crâne de bouc et de trou... il devait sûrement rechercher un arrancar, et, à coup sûr, il s'agissait du premier qui était arrivé à Karakura. La description collait au personnage qu'il observait avant l'intervention de ce fichu Shinigami. Constatant qu'aucun des deux inconnus n'étaient pas sa cible, il décida de ne pas les déranger plus longtemps. Il posa tout de même une ultime question... si aucun d'entre eux n'avait apperçut un arrancar avec un masque de bouc. Il cherchait donc la cible de Sammael, enfin, une de ses cibles. Le shinigami fit non de la tête, Sammael, lui, préférait faire comme s'il ne savait rien, espérant tout de même un peu que l'Espada passe à autre chose, qu'il puisse régler son différent avec le Shinigami.
Une lueur verte illumina la ruelle, plus intensément encore que la lueur de l'oeil rouge quelques secondes auparavant. Une forte dose d'énergie spirituelle se rassemblas à l'extrémité du doigt de l'Arrancar, prêt à relâcher son attaque, et à mettre fin aux vies des deux êtres. Le temps leur était compté, mais, avec Sammael, le temps n'était pas ce qui manquait le plus. L'air indifférent et froid, l'oeil de Sammael scintillas de nouveau, et le temps s'allongea, les secondes prirent de l'ampleur, retardant l'arrivée des nouvelles minutes. Puis, alors que l'Espada terminait ses adieux, le temps fut figé. Quelques flash steps aida Sammael à prendre de la distance entre sa peau et cette situation critique. Une quinzaine de mètre plus loin, le pistolet à la main, Sammael posa le canon de son arme sur son bras, visant l'Espada. Il éteignit la flamme de son pouvoir, et les grandes du Temps reprirent leurs dû. Les gens marchaient normalement, leurs paroles étaient compréhensible, et, au milieu de la route perpendiculaire à la ruelle où se déroulait l'action, un homme à la cape rouge sang se tenait, immobile, le doigt sur la gâchette. Les deux faisceaux verts partirent, propulsé par les facultés de l'Arrancar aux grands pouvoirs. L'un des rayons vint percuté l'immeuble, l'autre avait sûrement dus traversait le crâne du Shinigami aux cheveux blanc.
« Un Cero n'est-ce pas? »


En posant cette question, Sammael en connaissait déjà la réponse, il connaissait cette technique propre aux Hollow aux résidus de masque. C'était la première fois qu'il en voyait un en tirait deux en même temps. C'était comme s'il avait scindé un rayon d'énergie spirituelle pour en créer deux qui serais tiré à deux endroits distingue... c'était une technique pour le moins intéressant. Mais sa mission n'était pas celle d'en apprendre plus sur les êtres du Hueco Mundo et de leurs techniques... il semblerait que la phase d'observation n'était plus jouable... l'action était donc recommandée. Alors que cette idée lui percutas les pensées, il sentit son arme principale tremblait d'impatience entre ses mains. Méphisto était un véritable démon. Il tira resserras la pression de son doigt. Un coup de feu, trois balles, de la fumée. Un second coup de fois, trois nouveaux projectiles... un dernier, et trois dernières munitions qui fendaient l'air. L'oeil d'Odin se mit à briller, la Chronomancie opérée. Les balles, déjà rapide grâce à la puissance du percuteur de l'arme, prirent encore de la vitesse. Curieusement, en tendant l'oreille, l'on aurait pu distinguer une mélodie émanant des balles.
Profitant de cette diversion, il effectua plusieurs flash step. Les balles n'allaient pas occuper l'Espada longtemps, mais chaque secondes gagnés pouvaient se révéler précieuses, et, si par miracle, le shinigami était encore vivant, il pourrait devenir une distraction... faisant à nouveau gagné du temps à Sammael... il continua de parcourir de grandes distances en peu de temps, les techniques de déplacement étaient vraiment utiles et pratiques. Il capta l'énergie du quatrième protagoniste de la journée, et se dirigea vers lui... il n'allait pas le laissait fuir comme bon lui semblait.

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