Les pouvoirs de l'uraeus

Si j'ai bien compris, on doit soumettre son panel de techniques ici avant de faire sa FT dans la section appropriée, me trompé-je? Alors voici donc. j'en profite au passage pour étoffer la description de l'arme, et par là même du su style de combat habituel de Naoki:

Nom du Personnage: Hara
Prénom: Naoki
Rang/poste: ex-huitième siège de la treizième division, ex-cinquième siège de la seconde division, actuellement membre du Hell's Gang.
Race: Shinigami

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Nom du Zanpakuto: Meganehebi (Serpent à Lunettes. Nom japonais pour le Naja, cobra asiatique considéré comme le plus venimeux serpent terrestre)

Forme Scellée: Meganehebi sous forme scellée est, comme la grande majorité des armes scellées de Shinigami, un katana. Toutefois, sa forme est altérée par rapport à un katana classique, dans une optique à la fois pratique et idéologique. Meganehebi étant par définition un zanpakuto ambigu, son apparence se doit également de refléter cet état d'esprit. D'un point de vue esthétique, l'arme présente de forts contrastes dans ses couleurs et formes. La lame est sans doute la partie la plus élégante, et semble plus sculptées que forgée. Aussi longue qu'un katana classique, elle est subtilement courbe sur toute sa longueur, et des motifs sinueux de lignes, sans signification particulière, ornent son plat de chaque coté et sur toute sa longueur. Les deux faces, il faut préciser, n'ont pas les mêmes motifs. Pourtant, c'est aussi la partie la plus terne à première vue, arborant une couleur grise foncée presque semblable au plomb, les gravures ressortant en gris plus argenté dans sa teinte. La garde de l'arme est faite en laiton, métal doré en apparence, et donc en forte opposition avec la lame devant elle. Elle est en forme de spirale de diamètre maximal aussi grand qu'un Mini-CD de gamecube (désolé, mais je n'ai pas d'autre façon de décrire sa taille XD ), et a la forme d'un Naja lové sur lui-même, la tête, ouverte et montrant des crochets pointus, se trouvant bout extérieur de la spirale. Cette partie a un léger effet psychologique, car elle donne l'impression que le serpent va s'élancer à tout moment. Mais ça ne marche que sur les esprits faibles, sans sens du combat. La poignée est également en laiton, et est recouverte de tissus noir, tressé selon les motifs classiques pour un katana, c'est-à-dire en losanges, laissant transparaître le métal en dessous. Ceci, du moins aux yeux de Meganehebi, symbolise son esprit aussi prompt aux pensées sombres et violentes du combat qu'aux pensées de sagesse et d'affection pour son "maître". En lieu et place d'un pommeau classique de katana, la poignée s'effile en une aiguille très fine et droite, d'environs 5 cm de longueur, dont l'apparence fait irrémédiablement penser à un dard de frelon... ou un crochet de serpent venimeux.
D'un point de vue purement pratique, Meganehebi est conçue selon un principe similaire aux épées de main-et-demie. Alors que la lame n'est pas plus longue, la poignée, elle, double de longueur par rapport à une arme classique. Cette modification permet à Naoki de pouvoir saisir son arme avec les deux mains très espacées, lui permettant des coups de plus forte amplitude lors d'un combat rapproché. De plus, cela lui permet, en modifiant plus aisément la positions de ses mains, un maniement bien plus précis, ainsi que d'améliorer sensiblement sa palette de coups, en modifiant à souhait l'équilibre de son arme en fonction de la manière dont il la tient. Naoki use et abuse de cela, et en a développé un style de combat étrangement apparenté à une danse avec son arme, ses mains se mouvant avec grâce le long de la garde, parfois la tenant sur le bout des doigts pour atteindre un adversaire un peu trop éloigné, tel un meneur de danse ferait tournoyer sa partenaire lors d'un tango. Loin d'être allongée en proportion, la lame est au contraire raccourcie par rapport aux katanas classiques, sans pour autant être aussi court qu'une wakisashi. Une arme à mi-chemin entre les deux, en somme. L'intérêt ici est de minimiser la perte de portée, et donc la diminution du "Miaï" (zone de combat autour du guerrier), tout en maximisant la vitesse de frappe. De plus, la lame est courbée sur toute sa longueur, comme dit précédemment, faisant de l'arme un experte dans les coups de taille (Naoki fait très peu d'estoc), quoique réduisant l'efficacité de la parade. La garde, en plus de protéger, a une fonction similaire aux capuces de rapières: la forme de spirale légèrement espacée peut "piéger" les lames fines d'un adversaire. Il ne fait aucun doute, Meganehebi est une arme au style qui se veut unique, et très peu évident à manier. La pointe remplaçant le pommeau a un simple intérêt de riposte dans les situations où Naoki se trouve nez-à-nez avec son adversaire, en lutte directe ou plaqué contre un mur. Dans ses cas-ci, il s'en sert alors pour frapper à la main ou au poignet de l'ennemi, afin qu'il le lâche. Si l'occasion se présente, toutefois, il peut aussi tenter de frapper à la tempe, moins précis et risqué, mais nettement plus efficace.

Description de la Libération: Pour libérer son zanpakuto tant aimé, Naoki pointe d'abords la lame vers le bas, à sa droite. il lui fait tracer un demi-cercle vers le haut, toujours à son flanc droit. Puis il la rabaisse lentement devant lui, vers le bas. Enfin, il la remonte une troisième fois en demi-cercle, vers la gauche. Tandis qu'il fait cela, l'arme laisse derrière elle une trainée constante d'électricité statique, qui s'amplifie au fur et à mesure que le mouvement touche à sa fin. La lame, elle, s'illumine aussi progressivement, donnant l'impression d'un chauffage à blanc. Alors que ce rituel complexe se termine, Naoki prononce, avec une lenteur délibérée: "Bunsekisuro, Meganehebi" (analyse-le, Meganehebi). La dernière syllabe s'échappant de ses lèvres, un choc retentit, comme un petit coup de tonnerre localisé, et l'arme, de la trainée électrique et le la lame, se matérialise en une fraction de seconde sous sa forme Shikaï.

Forme Shikai: Libérée, Meganehebi n'a plus rien à voir avec un sabre. Il s'agit en fait d'une version plus longue d'une arme Chinoise dénommée Jiu Jie Bian, dont la forme se situe à mi-chemin entre le fouet de combat et le fléau de guerre. Une voici une version de cette arme réduite au plus simple possible:

Spoiler:

Dans le cas de Meganehebi, il n'y a pas neuf, mais une vingtaine de sections à cette "chaîne". L'ensemble mesure jusqu'à 5 mètres de long, procurant une portée plus que respectable. La pointe est remplacée par une tête de naja, crocs montrés et ailerons déployés, comme pour la garde sous la forme scellée. Elle confère un poids plus important au bout que pour un fouet classique. En résulte alors des coups plus violents, et nettement plus contondants qu'autre chose. Un fouet bien appliqué peut trancher peau et chair comme une feuille de papier; Meganehebi en est incapable. L'ensemble est constituée d'un alliage doré, luisant de reflets blancs sous quelconque lumière tant soit peu intense. La garde disparaît complètement, laissant sans défense les mains de Naoki. Toutefois, au vu de l'utilisation de cette arme, elle serait complètement inutile. La poignée, en revanche, reste la même que sous la forme scellée, ainsi que l'aiguillon défensif remplaçant le pommeau. La seule différence réside dans le métal, plus proche de celui de la chaîne, et non plus en laiton comme avant.
En combat, Naoki se sert de Meganehebi comme un fouet. Son style de combat a toutefois quelques similarités à une danse athlétique de ruban, avec un bon nombre de tournoiements et figures (simples et sobres, il faut préciser: on n'est pas aux J.Os tout de même ^^), dont le principal but est de déstabiliser l'adversaire. Elles ont aussi un intérêt d'esquive, car vous l'aurez bien comprit, le Shikaï de Meganehebi rend impossible toute forme de parade, quelle qu'elle soit et contre quoi que ce soit.
Sous cette forme, l'arme est en permanence parcourue par un courant électrique à haut voltage. Celui-ci est sensé augmenter les dégâts qu'elle infligerait normalement. Toutefois, étant donné que le contact entre elle et ses ennemis est généralement très bref, même si peu plaisant, il est possible de négliger cette caractéristique. Le courant sert alors à souligner l'élément de l'arme et à permettre certaines bottes spéciales. Là ne se situe pas son véritable pouvoir. Sur ce, je me permet, dans un but de compréhension, de rappeler l'un des traits qui rend la relation entre Naoki et son zanpakuto unique: ils ne sont pas synchrones. Meganehebi et Naoki ne sont pas sous une forme d'accord à proprement parler, et Meganehebi n'est en aucun cas dominé par son manieur. En fait, c'est l'inverse: Naoki se soumet littéralement et de lui-même à son arme, lui faisant une confiance presque aveugle. Il s'en remet beaucoup à ses décisions sans broncher. En combat, cela se traduit par une phénomène surprenant: en Shikaï, la chaîne de Meganehebi a le pouvoir de se mouvoir toute seule dans les airs, indépendamment de la volonté du Shinigami (bien qu'elle reste attachée à la poignée, toujours tenue par Naoki). La tête au bout de la chaîne est mobile et peut "mordre". Ceci est à la base de leurs techniques les plus puissantes, car cela permet d'ajouter une dose impressionnante d'imprévisibilité aux combats. Imprévisibilité qui, il faut préciser, s'applique également à Naoki: il fait confiance à son arme, de fait elle agit de façon autonome, et ainsi lui-même ne peut toujours prévoir ce qu'elle va faire. Toutefois, ils se connaissent suffisamment pour savoir dans 80% des cas comment l'un ou l'autre va agir.

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Spécialisation de combat: Zanjutsu

Techniques:

Zanjutsu

Pouvoir N°1: Shinyuu (infiltration): Naoki et son Meganehebi étant, en combat deux entités jointes, mais autonomes, se battant ensemble, ce dernier peut, au travers de la technique passive "Shinyuu" (Naoki n'a pas besoin de prononcer son nom pour l'activer), "rajouter une couche" aux mouvements du manieur. A savoir que Naoki exécutera une forme, et que le zanpakuto mobile la complexifiera et improvisera dessus en fonction de la situation, combinant imprévisibilité et effet psychologique de doute et de crainte, l'adversaire ne sachant trop comment réagir face à cela. Pour les niveaux supérieurs à celui de Naoki, ils se meuvent suffisamment rapidement et ont assez d'expérience pour anticiper la plupart de ces coups. Ceux en dessous de lui auront en revanche plus de mal. Les adversaires ayant moins 7 niveaux que lui pourront observer des coups assez traîtres, comme le zanpakuto esquivant subitement leur garde, ou s'enroulant autour de leur lame et les désarçonnant, ou encore réagissant à l'improviste alors qu'ils s'approchent trop de Naoki. Toutefois, de tels mouvements comportent un risque, car Naoki lui-même ne peut prévoir tout ce que son arme va faire, et peut se prendre lui-même à une de ses manœuvres (je tâcherait de faire apparaître ça dans les RPs de temps à autre... c'est toujours drôle de voir quelqu'un se planter tout seul en combat ^^).

Pouvoir N°2: Uwabami Raitenrou (prison du tonnerre céleste de l'anaconda): la seule technique de Naoki qui puisse infliger de gros dommages, Meganehebi ayant comme point faible fréquent un manque de force brute. Simplement, la chaîne tente de s'enrouler autours de l'ennemi, si elle y parvient, Naoki lance une décharge électrique massive. Sobre, mais efficace!

Pouvoir N°3: Kobura Manazashi (le regard du cobra): Naoki infuse une forte dose de reiatsu dans son zanpakuto, qui augmente sa vitesse à un tel point que des images rémanentes se forment, très brèves et peu nombreuses, mais suffisantes, pour, au mieux, faire croire à l'adversaire qu'il est attaqué par plusieurs serpents en même temps, au pire, le rendre confus, en tous les cas, le forcer à opter pour une défense de mêlée, inapte au duel. Donc bien plus efficace en combat 1Vs 1. Elle peut toutefois servir pour repousser des adversaires multiples, mais dans ce cas, son efficacité est divisée par 2, sans compter qu'elle rend Naoki plus vulnérable. Les images rémanentes et leurs durées peuvent augmenter avec le niveau de Naoki, par entrainement bien sûr. Un adversaire de niveau supérieur à lui sera bien entendu plus difficilement dupé, bien qu'il faille un certain écart pour réellement être insensible.

Pouvoir N°4: Ryudou Mamori (protection du territoire): technique basée sur la caractéristique des najas à être des serpents très territoriaux, et par conséquent bien moins prompts à fuir, il s'agit de la solution de dernier recours pour Naoki et Meganehebi. Cette technique est passive, et s'enclenche dès que Naoki se trouve inconscient, ou suffisamment incapacité pour ne pouvoir ni combattre, ni fuir. La chaîne de l'arme se mettra à le protéger à tout moment contre un agresseur venu lui porter le coup de grâce. Naoki peut être aisément vaincu, mais dans une situation pareille, l'achever est une autre paire de manches. L'effet de cette technique est similaire au Shinyuu, mais les dégâts qu'elle inflige sont plus importants. La portée est en revanche moindre. La seule façon de l'éviter est d'empêcher son activation, et donc d'emblée de porter à Naoki un coup si mortel qu'il n'a même plus assez de reiatsu pour respirer, encore moins alimenter son Shikaï.
Naoki adore ce pouvoir, pour la simple raison qu'il lui a sauvé la vie à plusieurs reprises, lui qui a une peur innommable de la mort.

Pouvoir N°5: Sanichi no Kari (les trois jours de la chasse): Le pouvoir de Shikaï le plus puissant que Naoki ait à sa disposition, il se déroule en trois phases, dont la mise en place totale prend environs une minute de combat.

Première phase : Naoki prononce le mot « Miro » (observes). Le serpent de foudre se dresse et la tête scrute l’ennemi attentivement. Phase qui semble inoffensive, elle est cruciale pour le reste du combo. Vous comprendrez vite…

Seconde phase : Naoki dit « Oitsumero » (poursuis). Le combat s’engage alors avec des coups rapides et brefs, le serpent se mouvant à une vitesse optimale. Étrangement, aucun des coups ne semble toucher l’adversaire, se contentant de frapper l’arme adverse ou de manquer. Naoki semble en fait jouer avec son adversaire, et si ce dernier ne réagit pas assez vite, voici ce qui se passe...

Troisième phase : Naoki dit « Kamo » (mords) et cesse de bouger. Le serpent se mouvra alors tout seul et, à la grande surprise de l’adversaire, se mettra à frapper avec une précision millimétrique, en calculant et anticipant le tempo de l’adversaire, la violence de ses coups, ses points sensibles, et plein d’autres données, jusqu’à la moindre variation du flux de son reiatsu. Données qu’il a accumulées durant les deux phases précédentes, d’où leur importance. Et oui, en tant qu'entité autonome, Meganehebi est aussi bien doué de facultés d'observation que son manieur. Cette technique donne à elle seule tout son sens à la phrase de libération du Zanpakuto.
Les attaques ne sont pas plus fortes, mais tout est misé sur la précision et l'anticipation la plus fine. Si Naoki arrive à lancer ça (et ce n'est pas fréquent) il est assuré de faire au moins quelque dégât à son adversaire. Il n’est pas impossible de parer les coups, mais cela demande des réflexes extrêmement aiguisés, d’autant que plus le combat traine, plus le serpent calculera, plus ses coups se feront précis et meurtriers. Un des moyens d’arrêter la technique est de forcer Naoki à bouger, ce qui aura pour effet de briser sa concentration. Encore faut-il pouvoir se focaliser sur lui sans se faire gnacker par le serpent au passage. Il existe une autre méthode efficace, mais connue de Naoki seul : il suffit de rester parfaitement immobile durant la première phase et de cacher son reiatsu le plus possible, puis de réduire ses mouvements de parade et d'attaque au strict minimum durant la deuxième phase. Cela n’empêchera pas l’attaque de prendre place, mais le serpent aura moins de données à portée lors des secondes et troisièmes phases, et sera donc bien moins efficace. La seconde phase du combo sert justement à "tirer les vers du nez" aux adversaires qui ne jouent pas le jeu.
Naoki n’aime pas vraiment se servir de ce pouvoir, car il prend un certain temps à se mettre en place, durant lequel il est extrêmement vulnérable, et il doit donc rester caché ou alors être couvert par d’autres gens tandis qu’il le prépare. De plus, ce pouvoir consomme pas mal d’énergie, et il doit rester parfaitement immobile pendant qu’il s’en sert. Toutefois, au vu de la vitesse de son arme et sa longueur, ce pouvoir peut très bien servir pour combattre des adversaires multiples.



Kidô

Ancien membres de Forces Secrètes (la seconde division), Naoki n'a pas vraiment eu à se servir de Kidô, et n'aime pas forcément ça, considérant l'art comme peu pratique car trop visible. Il a néanmoins des aptitudes correctes, (mais sans plus), étant donné qu'à la Reijutsu Academy, il était souvent au devant de sa classe en la matière. A ce jour, voici les deux sorts de Kidô qu'il utilise, les seuls qu'il voit comme pratiques pour son style de combat:

* Bakudo no ni jû roku (bakudo n°26) : Kyakko, technique permettant de camoufler l'énergie spirituelle de son utilisateur ou des sorts de kido. Elle est utilisée par Hinamori contre les fractions d'Hallibel.

* Bakudo no go jû hachi (sort de liaison n°58 ) : Kakushi Tsuijaki (appel du vol des moineaux), Technique servant à localiser des personnes, utilisé par Kotetsu Isane pour localiser Aizen et Gin dès qu'il s'en vont du bureau de la chambre 46.

Hakuda

Aucune technique particulière à ce jour. Naoki use quelque fois des poings et des pieds en combat, mais rarement, et pour la majeure partie, il s'en remet entièrement aux pouvoirs de son Zanpakuto.

Autres techniques

Naoki dispose du Shunpô. Le sien est basique, et permet tout juste un déplacement rapide d'un point A à un point B. Il n'a que peu d'utilité en combat, car insuffisant pour arriver dans le dos de l'adversaire (Naoki ne jouait jamais ce jeu-là à la seconde division. Il était là pour traquer les criminels et les affronter directement, son pouvoir permettant un achèvement rapide et propre).



Voilà, finit l'inventaire des techniques. A vous d'en juger à présent!