New Gula — Runder Drachen [Fini]

• Ce que vous pensez du forum : J'aime bien le principe de la Hell Gang, bien que je l'ai vu ailleurs... Un fow d'ailleurs où j'étais admin, mais dont le fonda' apporta l'idée... Alors, soit vous l'avez volé (peu probable) soit lui (plus probable). Mais disons que je ne vais pas entreprendre une enquête.

• Vos motivations : Devenir un grand glouton !

• Âge : 15 ans

• Expérience Rp : 1 ans et demi, voir un peu plus.

• Comment avez-vous connu le forum ? Vive les top sites !


• Nom : Drachen
[Et oui, c'est bel et bien de l'allemand, qui recompose le nom de la créature mythologique la plus craint durant un temps. Le fameux dragon des âges anciens. Vous l'aurez deviné, ce n'est pas son vrai nom, étant japonais de souche, mais il aime bien que l'on nomme sa personne ainsi. Son véritable nom est oublié.]

• Prénom : Runder
[Complémentarité de Drachen, tout simplement, c'est un prénom peu étudié. Runder définit également sa rondeur, puisque c'est le mot allemand rond. Son véritable prénom est oublié.]

• Sexe : Masculin

• Race : Humain

• Siège & Division/Métier/Rang occupé : Belzébuth / Goûteur professionnel / Démon supérieur

• Occupation(s) & Rêve(s) :

• Camp : Hell Gang

• Réside : Karakura / Avec ses amis

Membre d'Hell Gang -

Démon incarné : Belzébuth, le démon gourmand.
Description de la bague et transformation : Elle se retrouve au pouce, le gros de la main. L'anneau est blanc pâte et il n'aborde pas de motifs précis.
Lors de la transformation, la bouche de Runder devient son principal atout.
[Description à compléter dans le labo'.]

Description du pouvoir : Le pouvoir de manger de tout. [Description et "peaufinement" du pouvoir dans le labo'.]


• Profil Physique
Il serait absurde de décrire Runder comme pour un tout autre être. Le comparer est impossible, il reste unique en soit. Ses expressions autant que son caractère physique ne peuvent être imités. Il est le clown du Hell Gang. Et le restera, car malgré quelques apparences, tien à ce trait qu'on lui accorde.
Il faut dire que son apparence de gourmand lui donne des airs comiques. Petit et gros — ne jouons pas avec les mots, il est plus que costaud — Runder, comme ce nom, représente la circonférence parfaite. Une simple poussée du haut d'une cage d'escalier pourrait être un passe-temps favori, puisque inévitablement, le petit gros déboulera sans pouvoir avoir la main pleine sur cette situation. Néanmoins, il ne cherche pas à ignorer la situation, car il s'accorde avec elle dans tout ses gestes. Il ne plaint pas son destin, il l'idolâtre. Cette rondeur lui a accordée quelques avantages non-méprisables dont je vous ferai pars plus tard.

Il garde toujours un air niais sur son visage joufflu. Des yeux vides de toute intelligence, ils ne brillent que lorsque ses plats favoris sont dans le coin. Sans un caillou sur le crâne, il n'a également jamais porté la barbe et ses sourcils ne pousseront jamais. Un nez énorme comme un rocher solitaire sur le rivage se plante au dessus d'une bouche grandiose. Et c'est ce qui peut attirer la plus grande attention chez les gens, cette bouche munis de crocs et de dents tranchantes. Et une langue baveuse, qu'il manipule avec adresse. Longue, elle atteint facilement sa narine pour dégoter une crotte de nez lorsqu'un encas n'est pas à porté de main. Souvent, ses lèvres minces gobent un doigt dodus qu'il porte à sa bouche. Parfois deux. Parfois sa main au complet, prouvant qu'il a toujours faim. La pression pouvant être exercé par cette mâchoire de requin est nullement comparable chez les humains.
Sur ce visage disproportionné règne la bêtise des fous.

Quant à son corps, il est d'avantage disproportionné. Un tronc obèse, lourd et résistant, mené par deux petites jambes épaisses comme de jeunes troncs d'arbres. Et bien que la graisse couvre une grande partie de ces membres, il garde également une forme musculaire incroyable. Ses bras énormes en font la preuve. Les deltoïdes, les biceps, les triceps sont sur-développés, et un coup de poing de cette montagne de force serait douloureux pour qui contre. Runder est même considéré comme un être dangereux, dans toute son idiotie, car il peut tuer en frappant. Même qu'il est un des plus puissants en terme de force brute dans le Hell gang. Un vrai démon ! Et ces mains sont proportionnées pour le crime, atteignant une taille étrange. Une main de la taille de sa figure, puissante et effrayante. Ces armes offertes par la nature se tienne au bout de deux bras long comme le tronc.
Et bien que ce corps semble pesant et peu pratique, il est tout a fait surprenant de savoir que à la course, Runder ne se débrouille pas si mal qu'il n'en paraitrait. Il ne roule pas, non, il élance véritablement ses petites jambes vers son adversaire, l'atteignant parfois en quelques secondes, selon la situation et le terrain. Il est doué autant pour le saut que pour la course, et ce n'est pas ses quelques 357 livres qui le fixera au sol.
Cependant, il n'a rien d'un fier combattant aux poings, puisque sa technique laisse à désiré. Il manque d'adresse et peu lui-même s'envoyer au plancher, ne sachant pas équilibrer sa puissance. Néanmoins, il donne toujours toute sa force. Bref, Runder reste une machine ronde de guerre, un destroyer moderne, un démon de sang et de muscles.

Passons maintenant à son habillement des moins originels. Un truc moulant couvrant chaque parcelle de son corps. Ne faisant comme qu'un ensemble, quand il s'assoit sur son gros postérieur, doigt à la bouche, son habit peut faire penser à ceux des enfants. Car il est vrai que dans ses airs innocents, on pourrait le confondre à un jeune et inoffensif gamin. En fait, ce vêtement donne une protection contre le froid et isole bien la chaleur. De plus, des semelles sont incluses. Et bien que les bras de Runder reste nu, et que ses poignets sont entourés de deux bracelets du même matériaux que le reste du vêtement, son dos est relié à ses poignets par deux bandes collantes rouges longeant ses bras. Mais s'attarder serait de rendre hommage à un élément peu important.
Pour résumer, ou peu classifier le gros dans une catégorie à part d'humains. Son apparence est le premier élément important de ce classement.

• Profil Psychique [9 lignes minimum]
Le second élément est tout simplement sa mentalité étrange et désordonnée. Le troisième, et dernier, son pouvoir. Enfin, nous disions plus tôt que sur sa figure régnait un air de bêtise profonde et totale. Ne vous détrompez pas, c'est réellement le reflet de son stade de réflexion. On ne peut dire qu'il masque son potentiel intelligent pour surprendre ses adversaires, puisqu'il n'a même assez de neurones pour faire fonctionner l'élaboration de cette stratégie. En gros, Runder reste une espèce de grosse autruche démunie. Ce qui suivra seront les premières impressions qu'on peut se faire du gros, le jugement direct du Hell Member.
Il vous abordera sous un grand gargouillement, doigt souvent à la bouche, et ses yeux ne reflétera aucune pensée dite positive... Ils seront tout simplement vides. Peut-être vous montrera-t-il ses dents, dans un sourire ahurie. Mais de toute évidence, sa lenteur de réaction et de mouvements vous sera des plus désespérantes et il n'aura même l'audace d'articuler son nom, trop occupé à observer les alentours, cherchant de quoi pour se le mettre sous la dent.

Car voilà sa principale argumentation pour vivre : la nourriture. Toutes ses actions sont tournées vers des gestes qui pourraient lui rapporter sa pitance, et bien sûr, il n'aura pas de pitié pour celui qui lui empêchera de se diriger vers le morceau de viande (car seule la viande l'intéresse). Et c'est cette caractéristique de sa personnalité qui peut le plus effrayer les autres, cette manie de détruire et n'avoir comme maître que son estomac. Et bien qu'il est dans une hiérarchie serrée, ou presque, il déteste faire ce qu'on lui demande... ou plutôt, n'y prête aucune attention. Le Hell Member ne pourra ainsi jamais avoir de subordonné, car il n'en ferait qu'une bouchée, si son ventre gargouille. Oui, Runder Drachen, le représentant de Belzébuth, a un petit penchant pour la chair vivante, sanglante et infectée de bactéries ! Et bien qu'un corps courant, le fuyant, lui émoustille d'avantage les babines, un cadavres croulant sous une montagne d'asticots peut également le satisfaire. Étrangement, bien qu'il ne s'est jamais posé la question, son corps reste immunisé contre ces infections extérieur. Et ce, depuis qu'il a développé son cannibalisme.
Mais cette tendance n'est pas venue d'elle-même. Elle provient de son pacte avec le malin, qui changea sa vie du tout au tout. Stupide au paravent, il le resta, mais une appétit sans bornes le submergea. De plus, c'est sûrement celui qui s'entend le mieux avec son démon, puisque avant que Belzébuth — ou le grand Mium Mium, comme le nomme Runder — ne partage son corps, Runder avait développé une passion folle pour la nouriture, et ce, depuis son plus jeune âge. Alors, cette nouvelle entité, s'accordant un peu mieux qu'avec des porteurs antérieurs, devint son plus grand ami. En fait, nous pouvions penser que Runder, grâce à sa grande naïveté, n'était que l'image prime du démon de la gourmandise, un alter-ego pour la race, mais aucunement pour la façon d'agir.
Bref, cette folie qui le guide à travers sa vie ne pardonne aucun être capable de le rendre malheureux en lui cachant sa si convoitée nourriture. Bien que, en y pensant bien, tout fait l'affaire au gros. Cet être deviendrait alors sa nouvelle proie, et le jeu du chat et de la souris recommencerait. Un casse-tête qui n'en finit plus !
Seul petit point démontrant son idiotie parfaite, Runder peut, sans y penser (il ne pense jamais) prendre du gravas et le fourrer dans sa gueule béante et baveuse. Certes, il le recracherait, ne retrouvant pas ce goût pour la chair fraîche si tendrement demandé, mais cela démontre sa grande faim indescriptible... et sa bêtise de sot fini.

Finalement, à part la nourriture, et toujours comme Belzébuth, le petit Runder reste assez jeune dans sa tête. Sa folie le prouve. On ne lui donne pas ce qu'il désire, il mord et donne des coups. Néanmoins, comme tout bon enfant qui se respecte, le gros recherche sans cesse une mère. Qu'elle soit d'origine humaine ou pas, faisant partie de sa bande démoniaque ou non, d'une faction ennemie ou d'une amie, peu lui importe, tant qu'elle lui porte une certaine attention. Belzébuth le poussera néanmoins à allez vers le démon de la luxure, qui, en moyenne, est porté par une femme. Bien que chez les démons, tous sont asexués.
Quant au père, le cas est plus compliqué à expliquer. En fait, ce jeune garçon mental ne demande qu'une chose : que sa mère et lui soit seul. Car généralement, le père deviendra son assiette. Mais dans un cas échéant où, par une drôle de coïncidence, Gula recevrait une preuve assez effrayante d'un homme puissant, le définissant ainsi, par sa vision d'enfant, comme l'autorité ultime, et bien, il lui vouerait un certain respect.... Jusqu'à ce que cet personne réussisse à démontrer sa faiblesse : Runder le prendrait alors en traître et lui déchirerait les viscères pour se régaler de son coeur.
Et je déduis qu'il est inutile de vous préciser que Runder n'articulera des syllabes quand demande de certaine permission... Comme dévorer celui-ci, ou celui-là. Ou bien pour amener à lui la force du grand Mium Mium.



• Code du règlement : Validé par le Maître de la Dissection

• Histoire

A YOUNG SILLY THING
-Preface-

Le soleil se levait sur ce monde sans coeur, où une femme, dans toute la misère habituelle, venait de mettre à bas un chien galeux. Bien que ce nouvel être n'était qu'un enfant, si cette pauvre femme aurait su ce qui s'était passé entre ce fils ignoble et elle, inévitablement, elle aurait fermée ses jambes et se serait poignardée le ventre, pour mettre ainsi fin à cette douleur, mais également à la vie du futur meurtrier. En fait, ce n'était pas juste son bien-être qui était en jeu, mais également le destin de plusieurs personnes. C'était une jeune et puérile bêtise.


THE BLOOD AND THE PIZZA
-chapter I-

Tout ne fut pas que délinquance mentale dans l'absurdité du meurtre qui vint un jour façonné la vie de nôtre jeune gourmand. Non, car comme tout enfant de son âge, du temps où les cheveux abondaient sur son caillou, il pataugeait dans les joies des jeux uniques que pouvait bien se créer un enfant. L'imagination craquant de nouvelles idées à tout coup, il ne rompait jamais la lumière de bêtises qu'il pouvait causer à sa mère et son père. En fait, il se gardait bien quelques gênes, comme lorsqu'il dégustait des biscuits aux chocolat enrobés de chili, mais la plupart du temps, il s'affirmait comme un petit garçon manquant cruellement de bonne conscience, de jugement.
Mais depuis sa jeune enfance, déjà, il appartenait à cette branche discriminatoire : les petites boulottes. Rond, il ne le cachait pas, et bien qu'il n'avait que dix-ans, il montrait ses goûts pour la nourriture sans soucis. Il essayait de tout, omnivore, et les tantes et oncles rigolaient bien avec ses parents de son enfance, lorsque le petit de fourrait une ou deux pelletée de sable dans la bouche. Ce fut un peu ainsi que l'enfant stimula son système immunitaire pour ainsi le rendre quasi-infaillible contre les poisons alimentaires.
Mais ce caractère de grand gourmand ne lui apporta que mépris dans la cour de récrée, et il en pleura souvent, au lit, alors que sa bonne mère venait lui tendre une dernière fois les lèvres avant qu'il ne plonge dans les bras de Morphée. Si bien qu'il en vint à détester ses camarades d'école et se forgea une barrière contre ces cruautés gratuites. Il aimait la bouffe, certes, mais ce n'était pas une raison pour en faire un point d'encrage pour les insultes. L'enfant appris donc à se détacher.... Et c'est ce qui le perdra.
Son premier crime, disons, fut quelques années avant la rencontre fructueuse (fructueuse pour le malin) avec Belzébuth. Perdu dans sa tête, dégustant une pointe de pizza à la viande épicée et sucrée que le vendeur, le connaissant bien, avait saupoudrée de gingembre croquant, que sa mère avait bien voulu payer au prix fort. Donc, perdu dans sa tête, son goutté entre les mains, il mâchouillait sa pointe avidement, ne prenant pas le temps de goûter vraiment, connaissant cette saveur sans borne, sa mère eut la maladresse de le laisser quelques secondes, alors qu'il rencontrait une amie depuis longtemps oubliée. Le gamin, tout rond, salivant, se dirigea alors vers un arbre, pour y déposer son imposant fessier et calmer son coeur battant la chamade. Il croqua sa pointe. Puis un bruit de piaillement blessé le surpris, et curieux — comme tout bon enfant — il prit soin de découvrir un oisillon à l'aile cassé. Et alors que l'enfant le prenait dans sa main, alors qu'il voulut le remonter au nid qu'il voyait quelques branches plus hautes, ses yeux tombèrent sur sa pointe de pizza pour lui peu assaisonnée. Ni une ni deux, n'écoutant que son idiotie, il plongea le bébé oiseau bec premier vers la pointe, lui cassant le cou. Puis, de sa grande bouche, enfila le tout. Il découvrit avec bonheur le goût de la viande fraîche et juteuse... sanglante !


LIKE A FRIEND
-chapter II-

Puis vint la fameuse rencontre entre lui et le malin, le drôle de Belzébuth. Le démon gourmand, le Gula sans esprit. Bref, un jour de classe peu écoutée, le carnassier tomba au sol, suite à un croche-pied de la part d'un vilain camarade. Suite à un regard mauvais, le petit se dirigea vers l'infirmerie, pour bander son genou blessé. Attendant la demoiselle qui voudrait bien prendre en charge l'enfant, il tournoya un peu dans la salle. Puis il vit un truc brillé dans le fond de la pièce. Croyant à un morceau d'aluminium enrobant, peut-être, une sucrerie, il le prit vite et le goba. C'est alors qu'un goût indéfinissable, amer, lui survint. Il recracha ce qu'il avait enfourné et le passa à son pouce. Car cet objet était une bague. Puis l'infirmière arriva. Le banda. Il retourna en classe. La journée s'acheva sans incidents.
Mais lorsque vint le moment pour lui de rentrer chez, une crampe abominable lui martyrisa le ventre. Une crampe comme il n'en avait jamais eu. Et il poussa un cri de douleur, tandis que son crâne explosait avec fracas. Puis dans son esprit brumeux, le sourire carnassier d'une bête lui apparu. Celui de son futur ami, Belzébuth le gourmand. L'entretien douloureux ne dura que quelques minutes mais ce fut assez pour l'enfant pour comprendre à qui il avait affaire.
De cette première rencontre en résultat des crimes cannibales. Ne sachant pas d'où lui venait cette appétit sans bornes, il sautait sur les clodos, dès l'âge de seize ans, pour les déguster. Une vague de crime plongea alors son quartier de Karakura. Puis vint la fameuse journée qui lui fit réaliser qu'il n'était plus le bienvenue chez lui. Il se dirigeait lentement vers lui, dans l'esprit de faire un magnifique cadeau à sa mère. Le contexte étant que depuis deux jours, son père l'avait quitté pour une autre femme. Dans sa caboche possédé, l'enfant avait comprit que pour que la seule femme qu'il admirait et qui l'aimait soit heureuse, il fallait qu'il partage sa nourriture avec elle. Il dépêcha donc son propre paternel, et après l'avoir bien saigné, ramena le cadavre sanglant à la maison. Mais la réaction de la femme ne fut pas celui qu'il attendait, et au lieu de le remercier, elle le repoussa violemment. Désemparé, le démon sauta au cou de celle qu'il ne considérait plus comme sa parente proche. Il les bouffa tout deux, puis disparut, se sauvant de cette ancienne vie.


HELL MEMBER FOR ETERNITY
-chapter III-

Suite à ce désastre social, Runder se fit un nom un peu partout dans le monde comme le cannibale-fantôme. Prenant rapidement contact de nouvelles fois avec son entité démoniaque, il apprit seul à manier sa force. Ainsi, son apparence se remodela pour s'adapter à celle d'aujourd'hui. Puis il revint au japon, pour ainsi retomber sur sa première ville.
Le Hell Gang ne perda pas de temps pour le retracer. Et Runder devint un membre à part entière, connu pour sa force brute et sa bêtise redoutable. Il devint vite lieutenant. Et il aimait cela ainsi. Runder Drachen, le démon gula, Belzébuth en canne !

Fullmetal Alchemist POWAAA

Bref, bienvenue, prez correcte pour moi également, bien que le dernier chapitre soit si court que je me demandais si tu l'avais vraiment fini >w< Deuxième voix, plus qu'une et tu seras validé

Je comprends que je ne dois être qu'une autre impertinence dans vôtre travail, et que je ne demande peut-être plus une conneries que d'autres choses mais... Cela va faire maintenant 2 semaines que j'ai fini ma prez' et... Ben, j'attends toujours... Les admins sont les seuls à pouvoir valider ?
Oui, non ?

Car il ne me manque qu'une voix, et aucun fonda ne semble se co' et pour les modos... Bah, je ne vais pas m'exprimer. Bref, bien que je ne désires pas me prendre des avertos, ou de quoi du genre, je demande seulement d'avoir un bref topo sur la situation de la gestion des prez'.

Ça se peut ?

Ha, ben, et bien, merci bien XD