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 Une envie de... (PV Andreijz)

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Kuragi Machi
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Kuragi Machi


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MessageSujet: Une envie de... (PV Andreijz)   Une envie de... (PV Andreijz) Icon_minitimeJeu 14 Jan - 13:20


Le doux bruit des moteurs, celui du silence envahissant chaque parcelle de votre corps, la douce caresse de la brise nocturne sur la peau mise à nue… La ville de Karakura de nuit avait quelque chose de vraiment envoûtant, quelque d’unique et peut être même de magique… La lune réverbérait ses doux rayons, éclairant les rues d’une clarté particulière. Cela faisait maintenant quelques semaines que chaque nuit, Machi admirait ce spectacle arpentant les rues et parcs désertés à cette heure tardive. Quoi de plus naturel que de profiter de la solitude d’une nuit sereine lorsque des envies de vengeance vous envahissaient aux tréfonds de vous-mêmes ? De nombreux souvenirs d’une défaite cuisante s’étalaient sans cesse au sein de son esprit, ne lui donnant pas d’autres envies que celle d’une vengeance rapide. La vive aura rougeâtre du cero utilisé, celle du second cero beaucoup plus puissant et rapide, chaque coup reçu… Tout cela était parfaitement ancré dans la mémoire de la jeune femme, qui n’était pas prête à oublier chacune des actions portées. Mais, même si son esprit parvenait à oublier durant un court laps de temps cette défaite amère, son corps lui, venait frénétiquement lui rappeler les séquelles qu’il avait subit. Les derniers coups de l’Espada avaient été d’une violence inouïe, purement corporels par ailleurs, achevant physiquement la jeune humaine déjà bien amochée par les attaques précédentes. Malgré les quelques coups qu’elle avait pu envoyer au chaton à la chevelure bleu, la douleur engendrée par les derniers coups n’avait pas pu être expulsée d’elle même, causant quelques fractures au niveau de ses côtes et de longs hématomes le long de ses membres. Les hématomes s’estompaient plus rapidement que ce à quoi elle s’attendait, bien que ses côtes la fassent toujours quelque peu souffrir… C’était d'autre part une des raisons pour laquelle elle ne désirait pas rentrer au QG de l’organisation trop tôt, son honneur en ayant pris un grand coup. Et puis arriver meurtrie de partout… cela faisait bien moyen !

Secouant vivement la tête de droite à gauche, celle-ci se mit les idées en place en se donnant deux grandes claques sur les joues, qui se réchauffèrent rapidement sous l’effet du coup. Expirant la globalité de l’air contenu dans ses poumons, elle ferma les yeux un court instant, profitant du calme l’entourant pour un dernier moment de répit. Repos qu’elle brisa en se levant brusquement… S’étirant avec de nombreux mouvements amples, elle détendit ses muscles endoloris à force d’être restée assise trop longtemps dans l’herbe fraîche. Jetant un œil sur sa tenue, elle balaya d’un large geste les brindilles restées accrochées sur sa jupe avec le revers de sa main, défroissant les derniers plis au passage. Amenant sa dextre sur ses long cheveux d’un noir jais, celle-ci y passa les doigts, dénouant quelques nœuds au passage qui la firent grimacer. L’inconvénient majeur des cheveux longs… Ne lui restait plus qu’à remettre sa mèche en place, brossant rapidement celle-ci du bout de ses doigts. Voilà ! Ça devrait faire l’affaire… Se mettant en marche, Machi se laissa aller au gré des envies de ses pas, connaissant la ville quasiment par cœur à force d’y pavaner depuis de longues nuits solitaires. Mais ce soir, la solitude s’arrêtait là ! Une fois le coup de blues passé, elle allait pouvoir s’adonner à son envie la plus pressante, commune malheureusement à toutes les femmes de ce monde… Pourquoi fallait-il qu’elle cherche toute le grand amour ?! Ça en devenait agaçant de trouver de beaux garçons, qui finalement vous regardaient avec un petit sourire désolé en vous annonçant qu’une femme était déjà « l’élue de son cœur »… De quoi rendre une vie bien dépressive !

S’arrêtant machinalement, la jeune femme prit quelques minutes pour observer un paysage qu’elle aimait à admirer : l’aube. Le début d’une nouvelle journée, la fin d’une nouvelle nuit solitaire… C’était décidé ! Ce soir, elle ne passerait pas la nuit seule ! Reprenant son errance à la recherche de l’âme sœur, perdue dans ses pensées sur le genre masculin, l’un d’entre eux apparut dans son champ de vision, alliant à la fois classe et beauté. Finalement, la chance allait peut être enfin tourner ! S’approchant de lui de l’unique but d’entamer la conversation, Machi fut stoppée net à quelques mètres de lui, voyant arriver une petite blonde sur talons, aux formes on ne peut plus généreuse lui sauter littéralement dans les bras. Et m… voilà ! Encore un de pris, s’en était à peine croyable ! A croire que tous les mecs sur cette bonne vieille terre avait déjà une fille dans leur vie ! Continuant son chemin en prenant bien soin de ne pas poser le regard sur ces deux-là, elle croisa un autre représentant de la gente masculine quelques rues plus loin, cette fois-ci totalement seul (pour le moment). Esquissant un petit sourire, elle s’arrêta près de lui, commençant à entamer une petite discussion banale, avant que celui-ci ne la regarde de la tête aux pieds, un léger sourire moqueur s’affichant sur son visage alors qu’il continuait sa route sans même un regard en arrière.

" Hey !! On t’a jamais appris à pas ignorer une fille qui s’intéresse à toi crétin ?! "

Ayant été plutôt bien éduquée, il fut plutôt aisé pour la jeune femme de retenir des mots blessants, qui parfois, sont prononcés à la va-vite sous l’effet de la colère. C’était n’importe quoi… Pourquoi était-ce si difficile de trouver une personne s’intéressant à soi, éprouvant des sentiments profonds ? Tout en soupirant pour oublier cette légère humiliation, la jeune humaine fit volte-face dans le but de reprendre son chemin à contre sens, se retrouvant nez à nez avec un homme quadragénaire, sentant l’eau de Cologne à plein nez. Souriant de toutes ses dents, celui-ci s’apprêtait à engager la conversation avec la jeune femme, n’ayant sans doute pas seulement des idées très… bref, vous comprenez.

" Passes ton chemin, je suis pas disponible ce soir ! "

La colère bouillant en elle, Machi esquiva l'homme dont l'odeur commença à lui donner le tournis, avant de s'enfoncer dans les ruelles de la ville, les deux rencontres encore cuisantes dans son esprit déjà pas mal traumatisé ces derniers temps. Celle-ci, n’entendant plus rien de l’environnement l’entourant, pas même le bruit singulier de ses pas frappant le bitume de la rue, ne s’arrêta qu’au moment où elle se rendit compte que plus grand chose ne lui était familier. Une malchance coutumière qui la suivait partout sans répit… Balayant l’endroit du regard, celui-ci se révéla être plutôt désert, entouré de vielles bâtisses semblables à des entrepôts, à l’exception d’un élément qui marqua la jeune femme : non loin de là se trouvait une quantité spirituelle plutôt impressionnante, bien que loin d’égaler celle des plus hauts membres du Hell Gang. Curieuse de savoir d’où ce reiatsu tirait sa force, celle-ci se dirigea quelques centaines de mètres plus loin, là où se trouvait un homme plutôt solitaire et paumé à première vue. S’approchant, elle accosta l’individu sans grands ménagements, un petit sourire accrocheur sur les lèvres…

" Avant de savoir si t'es perdu ou si t'es libre pour un éventuel rencard, j’ai une autre petite question en tête… T’as pas l’air d’être l’un de ces idiots de shinigami, alors t'es qui au juste ?

Pour faire plus simple, la question posée par Machi pouvait se traduire par « qu’est ce que t’es ? », question un peu trop vulgaire lorsque l’on s’adressait à un être humain. Ou à un être y ressemblant comme deux gouttes d’eau…
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Andreijz
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MessageSujet: Re: Une envie de... (PV Andreijz)   Une envie de... (PV Andreijz) Icon_minitimeVen 15 Jan - 19:34

Au lycée, il y en a certains qui décrivent les nuits de Karakura comme mystérieuses, presque magiques. Ils parlent comme des poètes maudits, déclamant leur amour du silence (qu'ils massacrent si facilement, pourtant), de la fraicheur de l'air sur leur peau, de la beauté mystique des étoiles, éclats de diamants accrochés à la voute céleste, telle une allégorie des rêves de l'homme. Pour eux, la nuit,Karakura est une figure poétique que leur diarrhée verbale (ça, c'est de moi, pas d'eux...) ne peut décrire.

Foutaises. La nuit, Karakura est un terrain de chasse. Pour moi et pour pire que moi.

C'est la nuit que les délits sont commis. La nuit que les rêves sombres et pleins de rancœur sont relâchés par les inconscients. La nuit que le voyou braque, viole et tue. La nuit que l'homme d'affaire rêve avec délice de verser de la mort-aux-rats dans le café du patron. La nuit que l'on rumine sa vengeance contre celui qui est plus aimé que nous. La nuit que l'on s'abandonne au désespoir d'une amour à sens unique.

La nuit, c'est le terrain de jeu de la part la plus sombre de l'âme humaine.

Sous cette voute étoilée tant aimée par les ignorants, un espace vert perdu au milieu d'une ancienne zone industrielle de Karakura. Toujours entretenu, étonnamment. Une fontaine de pierre et de ciment, taggée, en partie démolie, dont l'eau ne coulait plus depuis que le quartier était devenu une des zones « sinistrées » de la ville. C'est vrai que dans ce petit parc de trois chemins et quatre plans de pelouse se retrouvaient certains gangs de voyous de Karakura. Allongé sur le carré d'herbe au pied de la fontaine, je fixais le ciel de nuit, une cigarette allumée comme seule source de lumière, point rougeoyant dans la pénombre nocturne. Je sentais ma respiration se calmer, mes muscles se détendre. Un râle de douleur parvint à mes oreilles, trop faible pour que j'y prête attention.

***Quelques instants auparavant****

-Crevez le les gars!!!
-Ouais! Du sang!!
-Des tripes!!
-Des excuses!!

-Tas d'crétins...

J'avais déambulé dans la ville toute l'après-midi, et même toute la soirée, m'arrêtant ici et là, dans un MarketStore pour acheter un paquet de cigarette,s dans une bar pour boire un verre, un fast-food pour faire taire mes tiraillements intestinaux. Mon entrevue avec Kurosaki, ce matin, m'avait laissé un goût d'inachevé. J'en avais appris sur cette guerre qui remuait Karakura dans l'ombre, mais strictement rien sur cette entité en moi qui avait si négligemment détourné l'attaque de Kurosaki, me vidant de mon énergie au passage, et l'envoyant dormir. Il en avait de bonnes le rouquin...S'entrainer. Il n'y avait pas grand monde dans cette ville capable de me tenir tête, en tout cas parmi ceux qui n'était pas mêlés à cette guerre. Le seul qui me venait à l'esprit, c'était Sado Yasutora, le latino. Mais celui-là avait réussi le prodige de devenir pacifiste, presque. Avec la musculature qu'il avait, quel gâchis!

Devant moi, un gang de voyous que me peregrinations nocturnes avait visiblement dérangé dans une entreprise hautement intellectuelle consistant à boire du mauvais alcool affalé sur leurs motos pourris. Ces crétins n'existaient sans doute qu'à travers la crainte qu'ils inspiraient chez l'autre. Jeunes crétins pas encore sortis du lycée, qui jouent au rebelles et ne se font jamais remettre à leur place parce que la réaction normale des japonais en cas d'esclandre, c'est de la fermer et de faire l'autruche...

Ca tombait bien, c'était pas mon cas. Je me léchais mentalement les lèvres en voyant les compères arriver vers moi alros que je soutenais leur regard, chose qu'ils avaient du prendre pour une ultime provocation. Bon, d'accord c'en était une; Mais de là à vouloir me crever...

Quelques secondes. Il ne me fallut que quelques secondes pour étaler le premier d'un coup de coude dans le plexus, et me retourner pour écraser la gorge du second d'un shuto. Avec tous les arts de combats que j'avais pratiqué, inutile d'essayer de faire les choses bien. Et puis ils n'en valaient pas la peine. Je plongeais main au sol pour éviter l'assaut des trois derniers, puis pivotais sur moi même en tendant les jambes, effectuant une passe de capoeira, écrasant mes talons dans la mâchoire du plus bovin des trois (par le regard, pas par la force...), et me récupérais au sortir d'une rondade pour regarder les deux derniers s'enfuit la queue entre les jambes. M'approchant des trois idiots qui avaient cru pouvoir me battre, je souriais cruellement, et plantais un coup de pied dans les côtes de chacun, avant de saisir celui qui avait l'air le plus intelligent du lot ( basiquement, un pris au hasard, quoi)

-Alors, c'est pas trop douloureux de se faire humilier à plusieurs contre un seul gaijin? Tocard...


Saisissant son col, je lui relevais la tête, prenant un malin plaisir à lire le doute et la crainte dans son regard, ou se reflétait le mien, animal et violent. Je balançais ma tête en arrière et l'écrasais sur le nez osseux de ma victime, sentant le cartilage craquer, libérant d'un coup la tension accumulée durant la journée. Je m'éloignais en sifflotant, ,m'allongeais sur l'herbe, fichant une cigarette au coin de mes lèvres et l'allumant en regardant les cieux.

Parfois, le bonheur, c'est simple comme un coup de boule.

***Retour au moment présent***

" Avant de savoir si t'es perdu ou si t'es libre pour un éventuel rencard, j’ai une autre petite question en tête… T’as pas l’air d’être l’un de ces idiots de shinigami, alors t'es qui au juste ?

Mon regard quitta la voute céleste, tournant la tête sur le côté, je le posais sur l'origine de la voix qui venait de me tirer de mes rêveries. Ces moments de solitude me font revenir à moi-même, et c'est pour ça que je les apprécie tant. C'est aussi pour ça que ma langue provocatrice prit rapidement la parole.

-Avant de poser des questions, on se présente. J'croyais que les japonais tenaient à la politesse...

Je plantais mes yeux dans ceux de mon interlocutrice, sans chercher à la détailler plus avant. Dans quelle catégorie allait-elle se placer? La lycéenne qui a fait un pari stupide avec ses amies et s'enfuit en pleurant dés qu'elle comprend à qui elle a affaire? La libérée qui cherche un homme pour lui tenir compagnie et prouver son indépendance(paradoxal, n'est-ce pas)? Ou une idiote qui croyait au prince charmant et se complaisait dans ses désillusions?

Pupilles d'or dans cercles chocolats. Mes sourcils froncés faisaient naitre une « ride du lion » entre eux, tandis que le coin de mes lèvres remontait doucement, ornant mon visage d'un demi-sourire mi-narquois mi-provocateur. L'entrevue avec Kurosaki, c'était déjà du passé, et la présence en moi s'était rendormie,même si je la sentis toujours là. Je prenais plaisir à me retrouver, moi et mon comportement animal et magnétique, en face d'une beauté, comme il n'en courait certainement pas les rues de Karakura. Dans la lueur de l'aube, je me laissais tenter. Les rayons du soleil naissant paraient sa peau d'ivoire d'une lueur rose-orangée, tel un cocktail de soirée, et ses cheveux d'un noir de jais complétaient parfaitement l'ensemble. Je résistais à la tentation de laisser glisser mon regard le long de ses formes, le gardant fermement planté dans le sien, premier contact et première confrontation dans ce combat de séduction. Un étincelle de provocation au fond de mes yeux, les rares rayons du soleil matinal accrochant l'argenté de mes cheveux, je me levais, dépassant la demoiselle d'une bonne tête. Portant ma main à ma bouche, j'en retirais ma cigarette, que je jetais d'une main experte dans une poubelle. Suivant du coin de l'œil le point rouge des dernières braises de tabac, je plongeais les mains dans mes poches, et m'avançais vers mon interlocutrice.

-Viens. Je t'offre le café, histoire de bien te faire commencer la journée, prononçais-je en la dépassant.

Marchant vers des endroits plus peuplés, je me laissais envahir par une étrange sensation. Une sensation de plénitude, que j'attribuais à « l'hibernation » de la présence en moi. Il est toujours bon de se retrouver.
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Kuragi Machi
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MessageSujet: Re: Une envie de... (PV Andreijz)   Une envie de... (PV Andreijz) Icon_minitimeDim 17 Jan - 20:04


Le Japonais et ses attitudes si spéciales… La façon de toujours avoir un certain respect pour un homme plus élevé socialement se traduisant par l’art des courbettes, les baguettes, l’art de toujours se présenter avant de faire quoi que ce soit d’autre aussi… Quelques exemples parmi tant d’autres qui stopperont leur course ici-bas. L’astre solaire qui s’élevait paresseusement symbolisait une toute nouvelle journée débutant sereinement, amenant avec elle un tas de surprise en tout genre, que même les rêves les plus fous ne peuvent parfois pas combler. Depuis le début de cette journée si particulière, la jeune femme ne s’était laissée guider uniquement par ses envies, et sa curiosité grandissante lorsqu’un nouveau reiatsu s’était fait sentir dans les environs. Reiatsu qu’elle s’était d’ailleurs empressée d’aller trouver, lui rappelant sans conteste le début de son combat contre le sexta espada… Qu’elle avait d’ailleurs agressé verbalement un peu trop au goût de celui-ci. Quoi de plus normal lorsque l’on était tiré du sommeil par une vague de reiatsu puissant ?! Oubliant ce petit incident qui vaudrait une bonne revanche dans un futur sûrement très proche, Machi se rapprocha de l’homme d’où émanait l’énergie spirituelle qu’elle avait pu sentir seulement quelques secondes plus tôt. L’homme considéré se trouvait allongé sur l’herbe fraîche, qui avait également accueilli la jeune femme auparavant en un autre endroit, semblant quelque peu endormi… Un fin filet de fumée s’élevait sinueusement au dessus de lui-même, formant des formes pour le moins complètement abstraites… Bien que, la fumée était semblable au nuage au final : Si l’on prenait le temps de l’observer et de s’ouvrir à elle, les formes apparaissaient les unes après les autres, révélatrices de cette matière grise qui nous fait parfois tant défaut. L’odeur qui s’en émanait faisait parti de ce dont les humains raffolaient, substance réduite à l’état d’un mince rouleau que l’individu brûlait afin d’en aspirer les vapeurs dégagées. Encore l’un de ces trucs dont beaucoup se révélaient accros, ne sachant vivre sans leur dose quotidienne. L’être humain était bien faible décidément, au point de se laisser avoir par ce genre de poison…

La question posée par la jeune femme avait le mérite d’être claire, bien que peut-être légèrement dérangée dans ce genre de situation, où la première chose qui venait à l’esprit était de se présenter en bonne et due forme… Chose que l’individu lui fit immédiatement remarquer, laissant l’impression d’avoir été dérangé dans sa tranquillité. Les Japonais tenaient beaucoup à cela ? Pour avoir vécu dans ce pays où tous ses souvenirs se raccrochaient, elle ne le savait que trop bien ! Mais, il y avait bien une chose qu’elle ne savait pas : était-elle vraiment japonaise ou possédait-elle une toute autre identité ? Question qui ne trouverait sans doute jamais de réponse concise, au vu de la façon dont sa « mère » l’avait lâchement abandonnée… Ramenant son regard sur l’homme allongé, oubliant cet épisode sombre, elle remarqua que celui-ci la fixait sans détour, plongeant ses yeux dans les siens. Son regard avait d’ailleurs quelque chose de spécial, où une étincelle bien particulière se consumait… En tout cas, celui-ci n’avait pas l’air d’être comme les autres et soutenait parfaitement le regard de la jeune humaine, qui vit furtivement les sourcils de l’homme se froncer pour une obscure raison. Un léger sourire s’esquissa sur son visage, légèrement provocateur sur les bords. Finalement, elle avait encore bien fait de suivre ses envies ! Dégoter un homme de cette force-là ne courrait pas les rues, bien que Karakura regorgeait de personne possédant une énergie spirituelle. Mais celle-ci se révélait juste assez élevée pour apercevoir les hollows et autres idiots de ce genre ! Rien de bien attirant en somme…

Mettant fin à ce long échange de regard, l’homme y mit fin en se levant, dépassant largement la jeune femme qui ne faisait pourtant pas partie des minimoys… Amenant rapidement sa main à ses lèvres, il enleva la cigarette qui y trônait, mettant ainsi fin à l’effusion de senteur que celle-ci provoquait et qui allait vite venir déranger Machi, qui n’aurait sans doute pas hésiter à lui arracher de force s’il l’avait fallu. Jetant le fin rouleau de goudron dans la poubelle avec une précision inégalée, il plongea ses mains au fond de ses poches, s’approchant de la jeune femme. La dépassant sans vraiment s’arrêter, il l’invita à la suivre, lui proposant un café pour bien commencer la journée, ce que ne pouvait pas vraiment refuser la jeune humaine… Un peu de bon de temps ne lui ferait guère de mal et qui sait, peut-être que celui-ci se révélerait assez puissant pour venir combler les rangs de l’organisation. Emboîtant le pas de son interlocuteur, elle repensa à la façon dont s’étaient déroulées ces dernières semaines… Ces derniers temps, le Hell Gang était bien trop calme au goût de Machi, qui préférait de loin avoir à agir plutôt qu’à attendre sans pouvoir tenter quoi que ce soit. Les généraux n’étaient d’ailleurs pas au complet, ce qui constituait un point faible non négligeable en cas de combat à grande envergure. Quelques membres de plus dans leurs rangs ne seraient certainement pas de refus !

Posant son regard sur l’individu qu’elle suivait depuis quelques minutes et qui la conduisait vers la civilisation, Machi remarqua les courbes de son dos et de ses épaules, sans doute renforcées à l’aide de nombreuses séances de musculation… Les fins cheveux argentés qui habillaient son crâne laissaient exprimer leur couleur au contact des rayons de l’étoile solaire ascendante. C’était une bien belle journée qui débutait finalement… Enfin arrivés à destination, les deux humains s’installèrent dans cet endroit quelque peu déserté en cette heure matinale. La tranquillité… il n’y avait que ça de vrai ! Croisant les jambes sous la table, la jeune femme fixa l’individu du regard, brisant la fine ligne formée par ses lèvres serrées, laissant un léger sourire se dessiner sur celles-ci .

« Désolée d’avoir manqué à tous mes devoirs… Kuragi Machi, enchantée ! »

La politesse… chose bien utile dans un monde en perdition pour obtenir de nombreuses faveurs en tout genre… Ne lâchant pas du regard son antagoniste, Machi amena sa main recouvrir le fin doigt où reposait sa bague, jouant avec celle-ci, la tournant par à-coups autour de son annulaire.

« Maintenant que les présentations sont faites… Tu pourrais peut-être répondre à ma question… »


Laissant un petit sourire envahir son visage, Machi planta son regard émeraude dans le sien, curieuse de savoir ce que pouvait bien être et vouloir un individu de son acabit…
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MessageSujet: Re: Une envie de... (PV Andreijz)   Une envie de... (PV Andreijz) Icon_minitimeMar 19 Jan - 13:59

Il était tôt. Très tôt. Presque même trop tôt. J'assistais très rarement au lever de soleil sur Karakura. Encore plus rarement en présence d'une beauté comme celle qui était venu me trouver dans le parc. La ville se réveillait doucement, baignée dans la lueur orange et sanglante de l'astre solaire qui entamait sa course quotidienne. Les mains dans les poches, je nous guidais hors de la zone industrielle abandonné, me dirigeant vers le centre-ville. L'éveil de Karakura à une nouvelle journée est chargé d'une ambiance fébrile, presque électrique, dans laquelle j'aime me baigner. Tous si pressés. Tous si concentrés sur leur petit univers. Insouciants, ignorants. Idiots. Je n'aimais pas le genre humain. Pour sa grande majorité, il a l'esprit étriqué, couard, et plein de rancœur. Pour moi qui ne vivait que par mes envies et mon plaisir de provoquer, la masse des humains n'était que cibles faciles, à l'exception de rares spécimens, tel le rouquin, la p'tite Arisawa Tatsuki, ou peut-être celle qui me suivait. Elle avait soutenu mon regard, et rien que cela plaçait au-dessus de la masse de mes contemporains.

La foule des travailleurs commençait à inonder les rues, mais comme d'habitude, les gens s'écartaient devant moi, peu désireux de me percuter, peu désireux de simplement me côtoyer. Je repérais quelques regards en coin, quelques éclairs de mépris, qui me firent sourire. Au bout de quelques années, j'étais habitué à ce genre de regard, je m'en amusais même. Il n'y aurait pas eu ma nouvelle rencontre, j'aurais avec plaisir appris la politesse au misérable salaryman qui venait de me toiser plein de mépris, réaction classique envers un gaijin, comme je l'avais rapidement découvert. Je découvrais mes dents dans un sourire que l'on pourrait sans peine qualifier de...sauvage-malsain-menaçant-moqueur, ressentant une joie ineffable à le voir baisser la tête brusquement et presser le pas. Au détour d'une rue, l'enseigne d'un café apparut à mes yeux, et comble du bonheur, il faisait aussi pâtisserie. Toujours meilleur, le café avec un petit croissant...

Assis sur une chaise en métal et tissu, presque design, je faisais doucement tourner la cuillère dans mon café, attendant que le serveur, apparemment pas des plus éveillé, apporte la commende de mon interlocutrice, qu'il avait oublié en m'apportant la mienne. Je la fixais en attendant. Première chose, la semi-pénombre de l'aurore m'avait induit en erreur. Ses yeux n'étaient pas marrons comme j'avais cru le voir, mais d'un vert profond, deux émeraudes d'une pureté absolue qui résistaient à mes deux billes d'or. Je me l'avouais intérieurement, au niveau physique, elle était parmi les plus belles et mieux faites que j'avais jamais croisé au cours de mes voyages. Tout en elle donnait envie. Sa peau blanche donnait envie de la marquer de morsures interdites, ses longs cheveux noirs semblaient demander à être caressés ou agrippés dans des étreintes damnées, son visage innocent s'imaginait déformé par un plaisir intense, et je me refusais à imaginer les autres parties de son corps, bien trop propices à me faire perdre le cours de ma pensée. Même sa voix, parvenant à mes oreilles, me laissait l'intention de la transformer en râle d'abandon total.

« Désolée d’avoir manqué à tous mes devoirs… Kuragi Machi, enchantée ! »

Bon, au moins j'avais son prénom. Saleté e système nominal japonais, qui foutait le nom avant le prénom, ou l'inverse. En fait, c'était quoi son prénom? Machi? Kuragi? Je n'aimais pas ça. J'appelle toujours les gens par leur prénom, c'est bien plus facile pour les jauger, et accessoirement les « taquiner ». Enfin, elle m'avait dit comment elle s'appelait, la moindre des choses était de lui rendre la politesse.

-Andreijz. Andreijz Chiewakzesky. Je viens de Pologne, ajoutais-je en voyant un éclair d'incompréhension passer dans ses pupilles.

Allait-elle elle aussi massacrer mon prénom comme le rouquin l'avait fait? Ou s'élèverait-elle encore un peu plus dans mon estime en arrivant à le prononcer correctement? Elle n'était pas du lycée, pourtant on devait avoir sensiblement le même âge. Ou alors elle était très bien conservée. Ses mains posées l'une sur l'autre, je la voyais jouer avec la bague qu'elle portait au doigt, simple bijou, sobre mais beau, qui me rappelait mon bracelet de bras dont je sentais la pression contre ma peau à chaque mouvement.

« Maintenant que les présentations sont faites… Tu pourrais peut-être répondre à ma question… »


Le serveur apporta enfin sa commande à Machi. Je pouvais donc boire mon café sans avoir l'air d'un goujat. Portant doucement la tasse à mes lèvres, je pris une gorgée de l'amer breuvage, savourant son goût. Décidément, y'a rien de mieux que les cafés d'Amérique latine. Un sourire en coin, je prenais une autre gorgée avant de poser la tasse, savourant le fait de savoir ma belle interlocutrice en train d 'attendre ma réponse. La façon dont elle l'avait posé sous-entendait clairement qu'elle savait quelle guerre se tramait dans l'ombre de Karakura.

-Ta question? T'as vu juste, je ne suis ni un shinigami, ni un vizard, encore moins un Hollow. Je ne suis qu'un « simple » humain, embarqué dans cette histoire depuis seulement...avant-hier. Et toi d'ailleurs,tu es de quel bord? Tu ne portes pas de sabre, donc tu n'es pas une vizard, tu n'es pas accoutrée comme pour un bal masqué, donc j'pense pas que tu sois une shinigamette, et vu que t'as pas essayé de bouffer mon âme, et que t'as apparemment pas de masque, je suppose que te traiter d'Hollow ou d'arrancar-machin peut te mettre en rogne. Alors, tu bosses pour quel camp?


Avant même que la réponde de Machi ne put franchir ses fines lèvres, je me levai et m'écartai brusquement, mu par un pressentiment animal. Et effectivement, le poing de la taille d'un jambon vint s'écraser sur la table, s'explosant les doigts au passage. Je ne refrénais pas un éclat de rire chargé de moquerie devant la scène, et regardais plus attentivement qui venait d'(essayer de me défoncer el cranes. Il y avait devant moi huit post-adolescents, de quelques mois ou années plus âgés que moi, mais aucun n'avait dépassé les 25 ans à vue de nez. Et au milieu, je retrouvais une des trois guignols qui m'avait servi de sac de frappe cette nuit. C'était Noël, il était revenu avec des renfort! Je regardais autour de moi. Le serveur avait sonné la retraite à l'intérieur du restaurant, et les rares autres clients se levaient pour aller le rejoindre. Ben voyons. Un étudiant qui va se faire tabasser par huit loubards, faudrait surtout pas les interrompre, hein. Tas d'crevards... Je plantais mon regard dans celui qui pensait qu'en ramenant ses potes il avait une chance.

-Ben alors, tocard? Ca t'as pas suffi de te prendre une branlée cette nuit à trois contre moi? Tu veux la revanche? T'as ramené tes petites copines? Franchement, je suis un peu déçu. J'pensais qu'aprés avoir cassé la mâchoire de ton pote et envoyé l'autre au pays des rêves, tu comprendrais que toi et tout ceux de ton genre, vous n'êtes pas de taille face à moi. Mais j'me faisais des illusions sur tes capacités cognitives
-je le regardais d'un air de profond dédain, bien conscient que je ne faisais qu'énerver toute la bande en face de moi, pour mon plus grand plaisir- Capacité cognitives, ca veut dire ta capacité à réfléchir... Bref t'es trop con. Tu vois, le problème, c'est ça. Tu es...Non...Vous êtes, des crétins. Alors que moi...

D'un mouvement je me plaçais à une trentaine de centimètres du plus proche, levant mon pied droit, et écrasais mon talon sur sa rotule, le forçant à poser genou à terre. Je le frappais du dos de ma main droite, poing serré, avant d'enchainer avec un coup du plat de la main, frappant sa mâchoire, entendant distinctement le « clac » de l'os qui se disloque.

-...Je suis bien plus intelligent,plus doué, bien plus beau, pour preuve la charmante jeune fille que vous dérangez en accaparant mon temps, pour le peu que vous serez capable d'accaparer bien sur...Bref, je suis meilleur que vous en tout domaine.


Le premier crétin à terre, je donnais une impulsion sur ma jambe d'appui, projetant mon pied comme une lame dans le ventre d'un second, lui coupant le souffle. Je me rétablissais alors qu'il se pliait en deux, ramenant mes poings à ma taille avant de frapper de toutes mes forces en pleine cage thoracique, chassant l'air de ses poumons, l'envoyant voler a plusieurs mètres et s'étaler face contre le bitume. Enfin les autres se réveillaient. Je parais le maladroit coup de poing du premier en le déviant de la main, me retournais et lui plantais un coup de coude en plein visage avant de basculer en avant pour m'en servir comme projectile, l'envoyant percuter ses petits copains. Un meuglement digne d'un bœuf de Normandie parvint à mes oreilles. Celui qui avait écrasé son poing sur la table tenait maintenant ses mains tel un marteau au-dessus de lui, avec sans doute l'objectif de me l'écraser entre les deux yeux. Du coin de l'œil, je voyais Machi qui observait la scène. Inutile de faire durer le plaisir du combat plus longtemps, un autre type de confrontation m'attendait à la table. Je reportais mon attention vers celui qui était visiblement le « champion » de la bande de bovins attardés qui se prenaient pour des gangsters. Son meuglement continu me tapait sur les nerfs.

-Uwaaahhhhh!!!

-Mais tu vas fermer ta gueule! Ictus Uncinatum!

Bon, j'y étais peut-être allé un peu fort. Mais ils me soulaient tellement, et puis il fallait bien leur faire comprendre que je leur étais incomparablement supérieur, quand bien même ils venaient seuls ou à plusieurs. Je me glissais sous la frappe d'une insupportable lenteur du « Bœuf Number One » et frappais au cœur, détendant tout les muscles de mon torse, de mon dos. Toute la partie supérieure de mon corps ne servait qu'un seul but, écraser mon poing dans la poitrine du mugissant. Et là, c'était un carton. Le « CRAC » qui retentit au moment de l'impact résonna dans l'air comme la chute d'un arbre en zone dégagée. Assourdissant. Yeux écarquillés, incapable d'émettre le moindre son, bavant, le crétin qui avait voulu m'assommer s'étala inconscient devant la terrasse du café, avec au moins trois côtes brisées. Je tournais mon regard vers les quatre encore en état de se battre, une lieur sadique dans les yeux, pour les voir se carapater la queue entre les jambes. Je laissais échapper un petit rire moqueur, et retournais à la table, lorsque je vis que le serveur avait appelé la flicaille locale. L'un d'entre eux avait déjà dégainé sa matraque télescopique, et comptait visiblement m'en faire tâter. Je levais les mains devant moi en signe de protestation. Pas que les deux policiers soient un obstacle réel, mais je n'avais pas envie, là, d'un deuxième round. Machi attendait, et elle serait surement plus intéressante à...confronter...

-Holà, messieurs les agents, attendez. J'étais en situation de légitime défense. Ce sont eux qui sont venus m'attaquer. Je tournais mon regard vers Machi, lui souriant d'un air complice. La demoiselle ici présente peut en témoigner, n'est-ce pas?

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Kuragi Machi
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