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 Le masque des apparences

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Kuchiki Byakuya
Snob-Modo | Roku Ban Tai Taisho | Empereur Blanc | Cerisier •
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MessageSujet: Le masque des apparences   Le masque des apparences Icon_minitimeDim 24 Jan - 14:50

Chapitre 1 : Un instant d’abandon


Les nuages semblaient avoir quittés le ciel du Seireitei, une douce chaleur printanière caressait l’herbe fraiche et verdoyante, tandis que les branches souples et harmonieuses des arbres se berçaient lentement. Le calme était le maître des lieux et tout paraissait dans une parfaite plénitude. Les fleurs des arbres fruitiers offraient leur beauté à qui savait les observer. L’une d’elles perdit une pétale, qui virevolta un bref instant suspendu dans les airs avant de choir sans heurt sur l’épaule d’un homme. Ce dernier semblait assoupi, car il ne fit aucun mouvement. Sa longue écharpe blanche autour du cou, cachait le bas de son visage. Ce visage si calme, peu être un peu trop. Ses paupières closes et ce front si détendu. Tout portait à croire que le sommeil était présent. Ses longs cheveux sombres étaient ordonnés et orner du Kenseikaan. Le rythme de son cœur battait sereinement en sa poitrine, qui était à demi nue sous la caresse du vent bienfaiteur, l’une de ses mains reposait sur son genou droit, tandis que la seconde était posée sur le sol, paume tournée vers les cieux. Rien ne présageait que ce tableau des plus doux, serait brisé en cet instant.

En effet des pas lents et à la fois légers se manifestèrent, les longues herbes se poussaient doucement sous l’avancée de la jeune femme aux cheveux noirs. Elle portait un kimono aux motifs forts simples et au tissu des plus riches. Son pas se ralentit cependant, car elle arrivait désormais en face de cet homme. Ses yeux si sombres n’avaient jamais contemplé, ou surpris un tel abandon en cet être, sous cet arbre. Graduellement Rukia s’accroupit, pour ne pas éveiller le dormeur. Une fois assise elle observa à loisir cet homme qu’elle ne connaissait pour ainsi dire pas vraiment. Du moins juste ce qu’il laissait transparaitre. D’une main elle voulut dégager ce regard clos d’une mèche de cheveux qui semblait de trop. Mais son geste était tremblant, voir figé. Même ainsi elle n’osait pas. Pourtant il n’y avait que mère nature pour seul témoin de son attitude, et malgré tout elle n’osait pas. Rukia baissa le regard en signe de résignation et de doute, avant de retirer sa main. C’est à ce moment qu’elle crut entendre une voix. Une voix emplie de doute elle aussi et de peine. Une voix qui susurrait, alors que la jeune femme sentit une pression sur son bras qui n’avait pas encore eut le temps de complètement se retirer.

« Hi..sana… »

Le cœur de la jeune femme fit un bond dans sa poitrine, tandis que son regard agrandit par la surprise, se porta de nouveau sur son frère. La peur soudaine de l’avoir éveillé. L’erreur que d’être ici même lui tenaillait le ventre. Mais quelle ne fut point sa surprise que de constater qu’il ne faisait que rêver… En effet, la main qui lui tenait le bras n’était pas ferme, mais douce, quasi relâchée. Si elle remuait, nul doute que cette étreinte prendrait fin. Rukia n’osa donc bouger, du moins pas avant d’être sûre que Byakuya ne s’éveille pas. Elle n’avait aucune envie de se confronter à son regard, sachant qu’en plus il ne supporterait pas d’être vu ainsi, dépourvu de tout masque, de tout faux semblant que son rang lui imposait. Cependant, en son esprit résonnait encore cette voix emplie de tristesse….ce nom.. le nom d’une personne qu’elle n’avait pas connu. Depuis ce fameux jour ou son frère lui avait révéler la vérité, ils n’en avaient plus jamais reparlé. Bien sur il y eut quelques changements entre eux, mais rien de plus. Un soupir vint perturber ses pensées et ramena son attention sur le dormeur. Ce dernier relâcha le bras de Rukia, et sa main retomba mollement sur le sol verdoyant. Ce geste inconscient, libera la jeune femme qui ne se décida pas pour autant d’en profiter pour s’écarter. Bien au contraire. Encore une fois elle approcha ses doigts du visage de Byakuya et cette fois si, ce fut sans une once de tremblement qu’elle écarta cette fameuse mèche. Puis son geste délicat s’abaissa sur les traits détendu de l’homme de haut rang, afin de retiré partiellement cette écharpe. Ainsi le visage de Byakuya lui était offert sans plus aucun facteur de gène, ni de tromperie. Rukia pouvait enfin reconnaître cet homme comme ce qu’il était et non ce qu’il voulait faire paraitre. Mais bien sur, elle était seule, seule à pouvoir le contempler. Ce n’était pas non plus une attitude égoïste, mais elle voulait pour une fois, voir la véritable apparence de cet homme. Son regard scrutait chaque recoin des traits si nobles de Byakuya, alors que sa main rompit enfin le contact avec cette peau qui n’était pas sienne. Nul n’aurait pu savoir ce qu’elle pensait en cet instant, tandis qu’elle se redressait sur ses jambes. Doucement elle s’écarta de l’homme endormi et cessa le contact visuel avec le dormeur. La nature, seule, devait être témoin de cette scène, et c’était bien ainsi que Rukia l’entendait. Ses pas se détournèrent de ce tableau décrit à vos yeux, laissant Byakuya à ses songes….


Le soleil était encore haut dans le ciel, quand l’homme sentit la fraicheur du vent sur son cou. Ses yeux s’ouvrirent lentement et fébrilement. Bientôt s’en suivit d’un froncement de sourcils, comment avait il put s’être abandonné ainsi au sommeil ? De plus il eut l’étrange impression d’avoir été surpris, pourtant tout semblait calme. Pas une once de présence aux alentours. D’un simple geste il remit son écharpe en place et c’est là qu’il eut comme l’impression d’une empreinte douce sur sa joue. Là encore son regard se troubla de surprise. Pendant un moment Byakuya resta immobile. Il se rappelait de son rêve… de ce qu’il avait perdu il y a de cela des années maintenant….Mais c’était encore si vivace… si présent. Mais le vent le ramena à la réalité des choses, et alors le visage si expressif de cet homme redevint insondable et impassible. Comme s’il venait de replacer son masque des bonnes convenances sur son propre visage. Puis d’un pas calculé, Byakuya quitta ce lieu, seul témoin de la scène qui venait de se dérouler… seul? Voila bien une chose dont on n’est jamais vraiment sûr.
Un chat descendit lestement de l’arbre sur lequel il était perché et s’en fut dans les profondeurs du Seireitei.
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Kuchiki Byakuya
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MessageSujet: Re: Le masque des apparences   Le masque des apparences Icon_minitimeDim 24 Jan - 15:00

Chapitre 2 : Colère non dévoilée.


Le pas était certain sur les planches, et le son mat de la démarche en était la preuve. Ce dernier fut comme un signal d’alarme pour les deux shinigamis présents sur les lieux, qui se turent net. La voix calme et froide du capitaine Kuchiki s’engouffra insidieusement dans le creux de l’oreille de chacun de nos deux compères, qui semblaient se raidir sur place.

« N’auriez-vous point un entrainement à faire, au lieu de babiller joyeusement ? »

Son regard semblait vouloir les transpercer, et c’était le signe qu’il n’attendait aucune réponse de leur part, mais bel et bien une action. Celle-ci ne se fit point attendre car nos deux fautifs filèrent bien rapidement, non sans oublier de le saluer comme il se devait. Le noble Kuchiki ne prit guère le loisir de les observer et continua d’un pas vif sa route. Son visage ne laissait rien transparaître ; seule sa mâchoire légèrement contractée faisait comprendre une certaine tension qui l’habitait. Lorsqu’il parvint dans les quartiers de la sixième division, quelle ne fut point la surprise d’un certain dénommé Renji Abarai, que d’apprendre de la bouche de son capitaine qu’il devrait se charger seul, pour la journée, de la division ! Voilà une chose peu naturelle que cela, mais qu’importait, le vice capitaine eut juste le temps de comprendre l’information que déjà son subordonné avait disparu, suivit de près par une ombre des plus furtives.

Le soleil semblait à peine à son zénith, lorsque la porte coulissante des appartements de Byakuya s’ouvrit et se referma avec fracas derrière ce dernier. Pendant un long instant, l’homme aux traits si nobles resta immobile. Seul son regard bercé d’une fausse indifférence parcourut la pièce. La tranquillité et le silence semblaient être les seuls occupants des lieux. Mais cela ne ramena pas la paix de l’esprit en notre protagoniste, qui se décida enfin à s’aventurer plus en avant dans l’espace. Ce fut par un geste appliqué et à la fois rageur que son haori se retrouva sur le sol, inerte, tandis que le noble s’assit en tailleur sur son futon. Ses yeux qui au départ n’exprimaient que du mépris et de l’indifférence, devinrent curieusement las et perdus. Il semblait contempler ses mains ouvertes, paume dirigées vers le plafond… Elles tremblaient nerveusement. Doucement il tenta de fermer son regard et se concentra sur sa respiration. Celle-ci se voulait sereine et lente, mais quelque chose perturba la tentative du capitaine de la sixième division : un son qui écorchait son ouïe, un bruit de pas tel des petites notes sourdes…Il rouvrit brutalement les yeux. Ce simple geste ramena un masque d’indifférence sur son visage, alors que sa voix glaciale, voir ironique, se manifesta sans attendre.

« Dame Yoruichi, qu’est ce que vous me voulez par ce temps radieux ? »

En effet, un chat noir avait pris place au centre de la chambre et le fixait de ses yeux de félidé. Ce fut sans préavis que la demoiselle aux allures de félin reprit sa forme humaine. Par respect envers sa pudeur, Byakuya détourna son regard vers le mur, alors qu’un froissement de tissu lui indiqua que Yoruichi venait de se vêtir de son haori qui gisait jusqu’a maintenant sur le sol.

-Le cynisme te va toujours à ravir petit Byakuya.

Sa phrase se termina par une légère pointe de moquerie, tandis qu’elle s’approchait de l’objet de sa plaisanterie. Ce dernier ne daignait toujours pas la regarder, mais sa stature froide faisait bien comprendre qu’il avait entendu.

-Tout comme votre furtivité. Mais encore une fois : quel est l’objet de votre visite envers ma personne ?

Cette fois-ci, le regard redouté par beaucoup se posa sur celui de Yoruichi qui exprimait, pour une fois, une certaine gravité.

-Cet objet n’est autre que toi. Depuis ce matin je t’observe et je n’arrive toujours pas à savoir ce qui ne va pas.

-Mais je vais fort bien, merci de vous en soucier. Cependant, oui, une chose me dérange, c’est votre présence.


Un imperceptible soupir quitta les lèvres à demi scellées de la jeune femme. Il n’était guère simple de savoir ce qu’un masque des plus lisses pouvait cacher. Mais là elle sentait qu’elle avait une touche. La distance qui les séparait ne surpassait pas les deux mètres ; ce qui pouvait sembler être un espace correct, mais tout est relatif. En effet, Byakuya toujours aussi maître de lui n’appréciait pas du tout cette visite surprise. Il se redressa sur ses jambes et réduisit la distance à son maximum. Sa voix était devenue aussi simple qu’un murmure, alors que ses yeux livraient un duel sans indulgence avec ceux de son interlocutrice.
- Penses-tu me faire partir avec des paroles aussi peu recherchées ? Je crois que je l’avais deviné, vu que depuis mon retour au Sereitei, tu sembles m’éviter.

« Que crois-tu me faire dire? Tu ne devrais point te mêler de mes affaires. »

Loin de se démonter, Yoruichi usa du shunpo pour s’écarter non sans porter une infime tape sur l’épaule de l’homme qui lui faisait face. Ce dernier eut un regard plus dur et s’élança à sa poursuite. Ses bras voulurent l’encercler, mais déjà l’image s’estompa pour ne laisser que du vide.

-Toujours pas au point question vitesse. Essaye encore.

Sur ses mots Yoruichi prit un malin plaisir à lui toucher à nouveau l’épaule droite. Byakuya se retourna brusquement, pour ne saisir qu’un léger sourire moqueur sur le visage qui s’estompait sous ses yeux. Intérieurement une rage folle s’emparait de lui, mais bien entendu il n’était pas question de montrer une telle faille. Le noble tenta d’anticiper la prochaine provoque de la jeune femme, mais cette dernière le surpris encore en lui portant, cette fois-ci, une estocade au niveau du visage. Byakuya recula d’un pas et porta le dos d’une main un bref moment sur sa lèvre qui saignait. Son regard toujours aussi neutre se fixa sur celui de son agresseur.

« Même ainsi tu gardes ton masque. Quand sauras-tu abaisser les murs de ce château que tu dresses depuis tant d’années ? Je ne suis pourtant point une aveugle. Où est donc passé l’enfant impulsif que tu étais ? L’as-tu laissé si loin derrière toi qu’il t’es impossible de le faire revenir ? »

Le capitaine de la sixième division ne répondit pas et se dirigea vers la porte. Toutefois, il se stoppa juste devant.

-Yotuichi. Vas-t’en. Si jamais tu es de nouveau ici lors de mon retour, sache qu’il faudra plus que d’user des provocations, pour me faire parler. De plus cet enfant dont tu me parles n’est plus, depuis bientôt 100 années.

Il quitta la pièce sur ses mots, et ne daigna même pas un regard sur Rukia qui venait tout juste d’arriver dans le couloir.

*Nii-sama ?....*


Ce n’est que lorsque les pas de son frère ne se firent plus entendre qu’elle réalisa la présence d’un chat empêtré dans un haori. Seulement, la présence féline ne se fit plus vraiment attendre. Elle disparut à regret, laissant là, la jeune fille avec un grand trouble pour toute réflexion.

Au dehors, le soleil allait vers son déclin, le vent s’était levé et les branches des feuillus vacillaient légèrement sous son souffle. Par delà une fenêtre, Rukia contemplait son frère qui était assis sur un banc. Il lui tournait le dos et pourtant même ainsi, elle n’osait pas s’approcher. Entre ses mains, Rukia tenait précieusement le haori de Byakuya, elle n’avait pas encore trouvé le moyen le plus évident pour le lui rendre tout en essayant d’engager la conversation mais…il est vrai aussi qu’elle avait eu que très rarement des échanges autres que des politesses avec lui. Soudain, le noble prit la parole et cela fit sursauter notre shinigami qui, par reflex, resserra contre sa poitrine le vêtement qui n’était pas sien.


« Rukia, pourquoi restes-tu figée ? Tu vas prendre froid, rentre. »

-Euh…oui Nii.... Nii sama mais, avant tout, je voulais vous rendre ceci.


Doucement elle s’approcha du dos nu de son frère et lui déposa sur les épaules son haori. Puis elle se courba légèrement en avant et s’éloigna à l’intérieur de la demeure.

« Bonne nuit Nii sama »

Byakuya ne répondit rien et ne se retourna même pas pour un quelconque remerciement. Simplement, il resserra un peu le vêtement sur lui-même et fixa l’ombre des arbres qui avaient pris de bien étranges formes depuis que la nuit était là.


*Flashback*

Alors que le vent soufflait son courroux à l’extérieur et que les branches des arbres pliaient cruellement, un enfant aux cheveux noirs et âgé d’environ 6 ans, avait remonté jusqu’ à son front la couverture de son futon. Il devait être 22h et il n’arrivait toujours pas à trouver le sommeil. Il faut dire que les ombres menaçantes des feuillus n’était pas la pour faciliter la tâche à notre jeune Byakuya.. Ses mains étaient comme des étaux sur le dessus de la couverture et son cœur battait rapidement dans sa poitrine. La soif lui tenaillait la gorge et toutes ses pensées étaient tournées vers la cuisine ; mais la peur était là. Malgré cela, le garçonnet savait qu’il ne devait pas céder à la peur, même si c’était si simple….si fascinant. Mais il était un noble il ne devait pas ressentir ce genre de sentiment. C’était une faiblesse. Alors, prenant son courage à deux mains, Byakuya bondit hors de son lit et se mis en position de combat, comme si un adversaire invisible se trouvait sur les lieux. Ses muscles étaient tendus comme pour se préparer à une quelconque riposte, qui bien entendu ne vint pas. Après un court instant, le garçon se détendit et soupira intérieurement. Vraiment l’imagination était un redoutable adversaire, il venait d’en faire la leçon. Par la suite, il fit glisser le plus subtilement la porte sur le côté afin de ne pas éveiller les serviteurs de la demeure car s’il était prit, cela n’allait pas vraiment bien tourner pour lui. Une fois dans le couloir, il prit bien garde à ne point faire de bruit sur le plancher ciré et c’est alors qu’en longeant le mur qui séparait le corridor du salon, une voix s’éleva et stoppa net la progression de l’enfant.

« Byakuya, ne devrais-tu pas déjà dormir ? »

Ce dernier déglutit difficilement puis s’approcha de la porte. Il fit glisser le battant pour se retrouver face à un homme aux cheveux blancs et au visage marqué par le temps. Cependant il n’était pas seul. En effet, il était tout simplement assis à une table, sur lequel du thé reposait, et en face de lui se trouvait une jeune femme que l’enfant n’avait encore jamais rencontré. Ce dernier se courba un peu en avant et dit alors :

-Bonsoir grand père. Je devrais dormir mais j’avais grand soif. Je ne pensais pas vous déranger.

Byakuya redoutait un peu le fait qu’il allait se faire sermonner, mais cela ne vint pas. Au lieu de cela, son grand père fit simplement les présentations.

- Byakuya je te présente Yoruichi Shihouin. Je crois que tu sais quel rang elle représente, si tu as bien appris tes leçons.

- En effet grand père. Ainsi c’est vous, la femme chat ?


Yoruichi eut un sourire des plus taquins sur le visage et s’approcha du garçon avant de lui ébouriffer les cheveux.

« Alors c’est toi le petit arrogant de la maison Kuchiki. Dis moi, ce ne serait pas plutôt le vent qui t’as fait quitter la couche ? »

La mine de l’enfant se renfrogna et d’un regard furibond il répondit tout en coupant net le contact physique.

- Arrêtez de toucher mes cheveux. Et je ne suis pas un peureux ! Je suis le futur héritier, je n’ai pas le temps de penser à la peur, moi !

- Voyez-vous cela…


D’une mine goguenarde, Yoruichi se métamorphosa en chat et sorti ses griffes tout en menaçant le petit Byakuya. Le chat se rua sur ce dernier qui courut à toutes jambes dans toute la maisonnée, ameutant ainsi tout les habitants de la demeure, sous les yeux amusés de son ancêtre, qui terminait son thé.

*Flashback - fin*


La nuit était bien avancée maintenant et le banc était vide.
Byakuya avait quitté les lieux…
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